Archive for septembre 2015

L'utime partie de la trilogie, j'espère que vous allez apprécier, et un remake devrait aussi arriver dans quelques jours.

? – Maintenant que j'y pense … C'est peut-être que ce jour-là que tout à changé. Oui c'est même sur. C'est ce jour-là qu'une partie de The Band est morte.

No, Sandra, Gaby et Alexander se trouvaient face à Robb. Après plusieurs semaines sans nouvelles de ce dernier, il réapparut du jour au lendemain, surprenant No dans sa douche. C'était d'ailleurs pour cela qu'il arborait une énorme marque rouge sur sa joue droite. Gaby demanda à No :
G – Je ne savais pas que tu pouvais frapper les fantômes.
N – Moi non plus.
Robb toussa pour faire taire les filles, puis il prit la parole :
Rb - Bon … Assez de cérémonie. Il est temps.
N – Tu es sur ? Si jamais ce qu'on voit est traumatisant pour toi …
Rb – Il faudra bien passer par là … Je veux savoir qui est la personne responsable de ma mort … C'est tout. Et il faut bien que vous sachiez ce qu'il s'est passé après le tournoi.
S – Et si jamais ….
Rb – Hum ?
Robb se tourna vers Sandra, cette dernière semblait troublée. Elle termina sa phrase :
S – Qu'est-ce qui se passeras si jamais … Ca change notre vision … des Beubarz.
Robb passa d'un visage impassible à un sourire taquin. Il lui répondit :
Rb – Ce n'est pas déjà le cas ? Ils sont passés de simples êtres humains à des êtres aux pouvoirs extraordinaires. Grâce à ça, vous avez prit conscience que ce monde n'est pas seulement composé d'être vivants comme nous. Mais aussi de démons, fantômes ou encore des Pures.
S – Des pures ?
Robb – Vous en verrez bientôt ! Ne vous inquiètez pas ! Une dernière chose.
No – Quoi encore ?
Robb – en plus du fait qu'ils aient des … talents, les beubarz de cette époque n'ont rien à voir avec ceux que vous connaissez … Donc faites attention.
Sandra – Tu veux …
Robb claqua des doigts et les filles furent enveloppées par une épaisse brume bleue. Puis soudain la nuit. Lorsque No rouvrit les yeux, elle se trouvait face à un miroir, et son visage n'était plus le sien mais celui d'une autre personne. Cela avait beau être la 3ème fois qu'elle se trouvait dans ce corps, elle avait toujours du mal à s'y faire. Bizarrement, la blonde aux yeux bleus qu'elle possédait s'était teinte les cheveux, qui étaient maintenant auburn. Elle soupira de soulagement puis s'habilla sans attendre une minute de plus, elle dit au revoir à sa famille d'emprunt et se rua en direction du Lycée, dans la voiture de son hôte.

Elle trouva vite fait bien fait une place de parking devant l'établissement scolaire et courra en direction de la porte pour voir si Sandra s'y trouvait. Elle remarqua une gothique, celle qui servait d'hôte à Sandra, sauf que cette dernière avait les cheveux courts maintenant. No prit Sandra par les épaules et lui hurla au visage :
No – Il faut qu'on aille dans la salle du Club ? J'suis sur qu'ils ont trouvé un moyen de s'en sortir.
S – J'espère …
Les filles se frayèrent un chemin parmi les nombreux élèves se trouvant dans la cour devant le bâtiment principal. Sandra ralentit soudainement, et cria à No de faire de même. Cette dernière, surprise, lui demanda le souffle coupé :
No – Quoi ?! On n'a pas le temps là !
S – Regarde autour de nous.
No s'exécuta avec réticence, s'étendant à ne rien voir de spécial. Mais elle fut totalement décontenancée par ce qu'elle vit. La plupart de la foule semblait avoir des pouvoirs de toutes sortes, allant à la simple lévitation d'objets jusqu'au contrôle des éléments. No, choquée, se tourna vers Sandra et s'exclama :
No – Mais depuis …
Sandra répondit calmement :
 S – C'est simple … Nous ne pouvions pas les voir avant parce que nous n'y prêtions pas attention … Ils ont toujours été là … Depuis notre naissance … Sans qu'on le sache. Ils suffisaient juste que nous apprenions leur existence pour ...
No – Alors il se pourrait que ...
S – Je ne pense pas. Cela doit se manifester assez jeune. Mais on ne sait jamais après tout. Allons rejoindre les beubarz.
No – Oui.
Nos 2 héroïnes foncèrent à travers les immenses allées du Lycée, bousculant et renversant les gens sur leur passage. Elles se stoppèrent devant le bâtiment des clubs, elles se jetèrent un dernier regard puis se hâtèrent dans le bâtiment. Elles parcoururent les couloirs à la recherche du fameux club et après un long moment, elles finirent par trouver sa porte de bois. Elle était condamnée par tout un tas de barrière keep out. Sandra tomba sur les fesses. Le club n'existait plus. No, qui voulait en savoir plus, retira les bandes et força la porte. A l'intérieur, tout avait prit la poussière, mais tout était en place, comme juste avant le tournoi de l'année dernière. Sandra observa une photo posée sur le mur, représentant les 8 beubarz. No déclara :
N – Il faut qu'on trouve ce qu'ils sont devenus … On ne peut pas laisser faire ça.
S – Ce lycée est immense … Tu crois vraiment qu'on va les trouver aussi facilement.
No – Il suffit de demander aux gens, tout simplement.
Les filles se rendirent dans la cour du lycée pour questionner les élèves. Cependant, elles n'eurent pas les réponses qu'elles espéraient. Soit les élèves partaient prestement sans rien dire, soit ils répondaient qu'ils ne savaient ou qu'ils ne voulaient pas avoir d'ennui. Alors qu'elles étaient sur le point de désespérer, No reçu un message sur son portable. C'était Rom qui lui demandait ce qu'elle fichait car il l'attendait à la cafétéria. Sandra jeta un coup d'œil par-dessus l'épaule de No et souleva un détail plutôt intéressant :
S – Pourquoi y a un cœur au-dessus de nom de Rom ?
No – Je …
S – Oh ca voudrait dire que … Tu sors avec …
No – J'suis trop fort ! J'ai réussit à sortir 2 fois avec lui MOUHAHHAHA ! I'm the Woman !
S – C'est bien beau mais tu pourrais en profiter pour lui demander ce qu'il en est de The Band !!
No – Pas bête comme idée ça !

No entra dans l'immense cafétéria qui comportait plusieurs étages, tandis que Sandra la suivait de loin, ne voulant pas se faire repérer par Rom. No, qui venait de prendre son plateau repas, chercha Rom du regard quelques instants, puis elle le remarqua en train de lui faire des signes depuis une table isolée. Elle le rejoignit et s'installa à la table. Elle vit alors le regard étonnée de Rom et compris tout de suite. Elle se releva, alla l'embrasser et se réinstalla à son siège. Alors qu'ils commençaient à discuter et manger, No se dit que la personne en face n'était pas la même avec qui elle était aujourd'hui. Elle sentait que quelque chose n'allait pas. Cependant Rom interrompit ses pensées :
R – Tu peux m'expliquer ce que Sandra fait la ?
No – Qui ? Ou ca ? Je ne savais pas ?
R – Te fous pas de moi ! Je croyais que vous vous parliez plus.
No – Hein ? Ah nan ça va mieux en fait.
R – Ah bon ? Soit.
No – Tiens je voulais te demander … J'ai eu un trou en discutant avec Sandra et je me disais … C'est quoi le nom de votre nouveau club ?
Rom s'arrêta de manger. Il fixa No l'air ahuri et rétorqua :
R – Tu en as d'autres des questions connes ?!
No – Nan mais je t'assure … J'ai un trou.
R – Mais … Tu sais très bien qu'il n'y plus de club … On a plus le droit de se parler dans l'enceinte de l'établissement depuis la fin du tournoi.
No – Ah oui … Mais du coup vous faites quoi ?
Rom – Tain mais tu le fais exprès ?! Je fais du foot avec keke, Adrian et Poté du rugby, Toto de la musique puis pour Max, Robb et Yann … Ils font des trucs.
No – Que ?
Rom – Ecoute je n'ai pas envie d'en parler maintenant ! Je me prends déjà assez la tête avec ça ! Tu n'auras qu'a aller leur demander après qu'on ait fini d'accord ? J'aimerais passer un bon moment avec toi là !
No – D'accord.
Ils passèrent rapidement à un autre sujet de conversation, mais No ne pouvait s'empêcher de poser des questions.

No, une fois Rom repu et parti, marcha vers Sandra qui l'attendait sur un banc en face de la Fac. Elle s'assit à côté d'elle et soupira :
No – Bon je sais ou se trouve Max e… Par contre pour Yann et Robb il n'a pas voulut me le dire.
S – Très bien …
No – Il t'a cramé aussi. Soit-plus discrète la prochaine fois.
S – Oh ça va hein ! J'y peux rien moi si la seule table libre était juste à 20 mètres de vous.
No – Bref allons voir Max.
Les filles se dirigèrent vers le 2ème bâtiment des clubs, qui se trouvaient tout à gauche du campus du Lycée. Plus elles s'en approchaient plus la route devenait délabrée et impraticable. Rom lui avait expliqué que c'était le bâtiment ou tous les clubs non-officiels se regroupaient, et donc souvent des gens de la pire espèce. Le conseil étudiant laissait faire que cela permettait de tenir un bon nombre de délinquants et de gens gênants à l'écart du reste des étudiants.
Une fois devant le bâtiment, ils ne purent que constater l'état de la bâtisse. Un bon nombre de fenêtres étaient brisés, l'immense porte d'entrée tenait à peine debout et le toit était un véritable gruyère. Les filles hésitaient à rentrer, mais comme c'était le seul moyen de revoir un des beubarz, ils n'hésitèrent pas plus et elles poussèrent l'immense porte. L'intérieur était peuplé d'individus en tout genre. Des punks, des gens distribuant des journaux conspirationnistes, d'autres utilisant leurs pouvoirs sur des secondes. No et Sandra baissèrent la tête et foncèrent directement vers les escaliers. Comme Rom lui avait indiqué la location du club, elles n'eurent pas à demander leur chemin. Elles traversèrent les couloirs à la vitesse de l'éclair et se figèrent en face de fameux club. Sandra approcha ses lunettes du panneau de bois prêt de la porte et lu :
S – Beubar and Co.
No – Ca ne m'étonne même pas.
Alors que No venait de finir sa phrase, la porte s'ouvrit, dévoilant Robb accompagné de L ... . Ce dernier, étonné de voir nos deux amies ici, dit l'air enchanté :
Robb – Bah dit donc ca fait longtemps ! C'est rare de vous voir trainer par ici ! Ca va mieux entre vous deux ?
San – Oui ! On pensait payer une petite visite à Max.
Robb – Ca va lui faire plaisir.
No – Tu ne restes pas ?
L – Nan il a autre chose à faire.
L… jeta un regard glacial à nos deux amies, et cela provoqua chez elles comme une sensation d'étouffement. Elles avaient l'impression qu'une personne d'une force surhumaine leur écrasait la gorge. Robb s'en aperçut et déclara :
Robb – Oui désolé j'ai réunion avec le conseil étudiant ! A plus tard !
L… secoua la tête et fit un sourire à nos amies avant de repartir accompagnée de Robb. No attendit qu'ils soient hors de son champ de vision afin de pouvoir s'écrier :
No – Quoi ?! Mais d’où il fait parti du Conseil Etudiant ?
S – Et tu vas L ? Comment elle passe de la haine à la sympathie en quelques secondes ? Elle est timbrée.
No – Bizarrement ses yeux étaient drôlement noirs quand elle nous a lancé ce regard … Puis une fois que Robb se mit à parler ils redevinrent bleus …
S - … On en parlera plus tard avec Max.
No – Oui ! Allons-y.

No ouvrit la porte du club et elles y entrèrent sans en demander la permission. La salle était étonnamment bien rangée et décorée comparé au reste du bâtiment. Il y avait des articles de journaux partout sur les murs ainsi qu'une immense bibliothèque contenant une centaine de livres. Sandra, comme appâter par autant de lecture potentielle, se jeta sur un bouquin pour le lire. No quant à elle resta à fixer le fond de la pièce. Elle y vit Max sur un pc en train de frénétiquement taper sur les touches tout en laissant échapper des "Tu vas répondre oui !". Soudain il sentit la présence de quelqu'un et grogna :
M – Le club est fermé, c'est ma pause ! Revenez dans une heure !
No – Tu ne veux pas faire une exception pour nous ?
Max leva la tête et son visage s'illumina de joie. Il sauta de son siège et alla saluer ses amies :
M – Oh ca me fait super plaisir que vous passiez me voir ! Je croyais que vous aviez peur de venir ici et … depuis quand vous vous reparlez.
Sandra, toujours le nez dans son bouquin répondit :
S – Depuis peu.
M – Ah je vois … Que me vaut l'honneur de votre visite ?
No – Bah on voulait avoir un peu de vos nouvelles, savoir comment vous alliez.
Le regard de Max changea du tout au tout. Il passa d'un air bienveillant à celui d'un profond mépris. Il rétorqua :
M – Bah écoute j'ai perdu mon club qui était toute ma vie, je ne peux voir mes potes dans l'enceinte de mon propre lycée et je suis considéré comme un pariât … Mais sinon la vie est belle.
No - … Je ne voulais …
M – Bah dans ce cas tu te tais.
Max fixait méchamment No, son regard plein de haine puis soudainement, il secoua sa tête et regarda autour de lui comme si quelque chose dont il n'avait pas conscience venait de se passer. Il tourna son visage vers les filles et demanda, l'air hagard :
M – Heu … Je t'ai dit quoi après tu m'aies dit que tu voulais prendre de mes nouvelles ?
No - … Tu m'as répondu de manière peu amicale.
Max semblait inquiet, il attrapa quelque chose dans une commode et l'avala cul sec. Il fit la grimace et s'excusa auprès de No qui fit des signes tout en lui disant que ce n'était pas grave. Sandra tenta de lui faire dire la raison de ce changement de personnalité soudain mais Max se contenta d'éluder la question.

M – Pourquoi il a rejoint le Conseil Etudiant ? Ca me parait évident. C'est quelqu'un de très intelligent et je lui aie dit que le Lycée a besoin de quelqu'un comme lui, tout simplement.
S – Mais je croyais que …
M – C'est comme ça. Puis de toute manière il ne pouvait pas refuser j'ai envie de dire.
No – Et yann ?
Max fronça le sourcil. Il se moqua des filles en disant :
M – Vous avez des problèmes de mémoire ou quoi ?
S – Oui … Un choc sur la tête.
No – C'est bête hein ?
Max avait l'air suspicieux. Mais il fit comme si rien n'était puis répondit en soupirant :
M – Monsieur refuse de sortir de chez lui depuis la fin de l'année dernière … On ne le voit quand dans de très rares occasions et la plupart du temps je le contacte via un jeu en ligne. Il bosse en solo maintenant.
No – Ah oui … C'est vrai maintenant que tu le dis.
M – Ca te dis rien du tout.
No – Heu …
S – Tu ne t'ennuies pas trop ici ?
M – Nan heureusement Bob et Clara sont la pour me tenir compagnie mais j'ai pas mal d'affaires en ce moment.
No – Des affaires ?
M – On va dire qu'au lieu de combattre des démons et des fantômes directement comme je le faisais avant, j'attends que des gens me proposent des affaires liés à des évènements mystérieux, j'y peux rien après tout si je tombe sur des monstres.
S – Ca ne te manque pas d'être avec les autres ?
M – Bien sur que si … Je n'avais pas qu'a perdre ce combat c'est tout …
No – Ca m'étonne quand même … Tu dominais largement et d'un seul coup on te retrouve KO par terre … Tu ne te souviens de rien ?
Les yeux du roux se perdirent dans le vide. Il fallut à Sandra plusieurs appels pour le faire sur Terre. Il regarda son amie droit dans les yeux, puis baissa la tête et  se contenta de donner comme réponse un simple :
M – Non. Désolé.
S – Ce n'est pas grave …
No – Tiens j'ai une question. Qu'est ce qu'un pure ?
M – Pourquoi tu veux savoir ça ?
No – Comme ça.
M – bon … Les pures sont considérés comme les élites de l'espèce humaine. On raconte qu'ils descendent des anges. Il faut savoir que les spéciaux comme on les appelle sont divisés en différentes catégories : les normaux, ceux qui ont des pouvoirs peu puissants et qui ont besoin d'un catalyseur pour les utiliser, suivit par les élémentalistes, je n'ai pas besoin d'expliquer pourquoi ils se nomment ainsi et enfin les pures, qui ont des pouvoirs dépassant l'entendement. Ce ne sont que des exemples.
S – Et vous, vous vous situés dans laquelle ?
M – Nous … Heu …
? – MAX !!
La porte de la pièce s'ouvrit dans un grand fracas, et alla, avec son élan, s'exploser contre le mur d'à côté, dont une partie s'effondra à cause de ça. Bob se trouvait sur le pas de la porte, totalement essoufflé. Max râla en montrant le mur du doigt :
M – Sérieux !!! Ca fait la 5ème fois que je le répare cette semaine !
Bob – Je te … le …. Repaierais … Tiens salut les filles.
No+S – Salut !!
Bob – Bref ! Une des personnes disparues est réapparue !
M – Cool ! Je peux lui parler ?
Bob – Pas vraiment c'est ça le problème … Elle est en train de détruire le gymnase !
Max sauta de sa chaise, attrapa son blouson en cuir et son sac en bandoulière, fonça vers la porte puis s'exclama :
M – Nous sommes partit !! Et les filles vous venez aussi !!
S – Mais …
M – Y a pas de mais qui tienne … On fonce !!!

Alors qu'ils se rendaient vers le gymnase, d’où l'on pouvoir voir au loin une immense fumée s'échapper, Max donna des explications aux filles :
M – Bon comme vous le savez pas mal d'étudiants ont disparus ces dernières semaines. Je m'intéressais à cette affaire de loin mais je ne pouvais pas intervenir comme personne ne m'avait demandé de le faire. Heureusement il y a 15 jours, la sœur d'un des disparus m'a demandé de m'occuper de l'affaire. Au départ je pensais que c'était un taré qui s'en prenait à des spéciaux mais toutes les victimes étaient des gens normaux, et à chaque fois le kidnapping a lieu tard le soir, après que les élèves quittent leurs clubs.
S – Du coup … Tu penses que c'est quelque chose d'organisé ?
M – J'en suis même sur … A mon avis un groupe de personnes se sert de ces gens pour quelque chose … Mais je ne sais pas quoi pour le moment … Bizarrement on rapporte en parallèle la présence de nombreux cadavres de démons dans les environs.
No – C'est une mauvaise chose.
M – En tant normal non mais sachant que nous ne sommes plus là à les chasser … Je me demande qui s'en charge à notre place.
Ils finirent par s'arrêter devant le gymnase. Une partie du toit était endommagé et des gens s'en échappaient en hurlant. D'intenses flashs de lumière jaillissaient depuis les fenêtres. Max dit à ses amies de rester en arrière cependant Bob lui demanda de se méfier, car la personne à l'intérieur avait blessé de nombreux membres du comité de sécurité.

Max était dans le hall d'entrée. De nombreuses personnes gisaient, KO, sur le sol. Il avançait prudemment dans les longs couloirs du bâtiment. De temps à autre, des flashs de lumière l'illuminait et faisait apparaitre son ombre un peu partout sur les murs. Il avait sa main droite dans son sac, près à en découdre avec quiconque lui tombait dessus. Sa respiration était lourde, la sueur de sa nuque était gelée et il sursautait à chaque cri qu'il entendait. Ces derniers étaient si stridents que les vitres se fissuraient un peu plus à chaque fois.
Max arriva finalement dans le gymnase principal. Des dizaines de personnes jonchaient sur le sol, tous essayant d'appeler à l'aide avec le peu d'énergie qu'ils leur restaient. Au milieu se tenait une créature avec des ailes blanches immenses, et des veines blanches parcouraient une grande partie de son corps. Max marchait lentement pour ne pas attirer son attention cependant, une des personnes au sol lui attrapa la cheville et suppliait notre héros de l'aider. Max tenta de la faire se taire mais c'était déjà trop tard. La créature se tourna vers le beubarz, dévoilant le visage d'une femme dont un liquide noir s'échappait de ses yeux et de sa bouche. Son visage était craquelé par endroit puis une sorte de peau blanche et noir lui recouvrait la totalité du corps. Ses yeux étaient totalement noirs avec un rond blanc à la place de l'iris. Elle pencha la tête, dévisagea Max puis le questionna :
? – Etes-vous un démon ?
Max resta sans voix pendant plusieurs secondes. Il se trouvait en face d'une des personnes disparues, il avait déjà vu sa photo dans le journal étudiant. Mais elle était quelqu'un de normal. Une personne profondément gentille. Elle n'aurait pas fait de mal à une mouche. Et la elle était responsable d'un véritable carnage, c'est sans doute pour ça qu'elle pleure. C'est la seule chose qui lui reste à faire, comme elle n'est plus capable de contrôler son corps. Voyant Max ne pas donner de réponse, elle reprit :
? – Je sens du sang du démon.
Max se daigna à répondre :
M – Ca doit être le tien !
? – Impossible je suis un être créer pour détruire les démons. Je suis pure. Pure. Pure. Vous n'êtes pas pure. Je dois vous détruire.
Elle pointa sa main droite vers notre héros. Une immense boule d'énergie blanche apparut, et elle déferla un laser sur notre héros qui eut juste le temps de sortir un "Et merde".

L'explosion souffla une bonne partie de toit du gymnase et laissa un trou béant dans le sol. Le monstre pensait son attaque si puissante qu'elle n'était pas surprise de ne voir personne, croyant avoir désintégré le rouquin. Malheureusement pour elle, une ombre s'approcha dans son dos et murmura :
? – Level 1 – Strenght.
Elle ressenti une pression comparable à un immense trente huit tonnes lui fonçant dessus, et elle fut projeter contre le mur. Elle réussit malgré tout à se rattraper au dernier moment. Elle remarqua alors que toutes les personnes qu'elle avait précédemment blessées se trouvaient dans le couloir. Folle de rage, elle fit volte-face pour se retrouver face à notre beubarz mais la seule chose qu'elle rencontra fit le poing gauche de ce dernier, qui l'envoya brutalement à terre. Elle se releva aussitôt tout en créant une onde de choc pour repousser notre héros. Il fit un bond en arrière et lui déclara :
M – Tu ferais mieux de te rendre maintenant. Je ne veux pas te faire de mal, je peux trouver quelqu'un pour te soigner alors rends-toi maintenant et tout se passera bien je te l'assure.
Le monstre se tenait la tête entre ses mains. Elle pleurait. Elle poussa un énorme cri de douleur et montra son visage en train de se déformer à notre héros. Des pustules blanches commençaient à lui pousser sur le visage et ils devenaient de plus en plus gros. Elle rétorqua :
? – Tu ne peux pas m'aider … Il est déjà trop tard … C'est une bonne chose après tout … J'ai fait trop de mal autour de moi …
Son corps commençait à enfler et une puissante lumière émanait de son corps, manquant d'éblouir le rouquin qui lui hurla de résister mais c'était trop tard. Avant que l'inévitable ne se produise, elle recouvra son visage humain, et elle put faire un dernier sourire.

Bob et les filles entendirent le bruit sourd d'une explosion contenue puis le silence. Paniqués, ils foncèrent voir ce qu'il s'était passé, même si cela signifiait se mettre en danger. Ils se dépêchaient dans les nombreux couloirs, poussant les blessés qui reprenaient peu à peu connaissance. Ils finirent par atteindre le gymnase principal. Ils découvrirent Max face à un dôme de terre, qu'il avait créé pour étouffer l'explosion. Le beubarz claqua des doigts, ce qui fit s'effriter le dôme. Il ne restait plus rien de la jeune femme, mit à part un petit tas de cendres. Notre héros resta de marbre, regardant fixement le petit tas de cendres. Bob s'approcha de lui, murmura quelques mots à ses oreilles et l'emmena vers la sortie. Lorsqu'il arriva au niveau des filles, il leur dit :
M – Désolé que vous ayez encore à voir un de mes échecs … Et dire que je vous avais promis que ca n'arriverais plus.
S – Tu ne pouvais rien faire de plus Max …
M – Je sais … J'en ai marre d'être impuissant … Je jure de choper le type qui a fait ça … Venez on a une enquête à mener !
B – Déjà ? Ce n'est pas un peu tôt ?
M – Nan !! Vous venez les filles !
N+S – Nous aussi ! Je vais avoir besoin de vous !!
Max retourna vers son bureau en compagnie de ses amis, tandis que l'équipe de nettoyage et des responsables du Lycée passaient à côté d'eux sans leurs prêter la moindre attention.

Des bruits de pas dans un des couloirs des sous-sols du Lycée. Après avoir descendu un nombre incroyable d'escaliers, La personne s'arrêta devant une immense porte. Il tapota trois fois dessus et cette dernière s'ouvrit, offrant la vue d'une véritable vieille ville abandonnée. Il s'agissait des vestiges d'une ville ou les spéciaux se cachaient avant de pouvoir se balader librement. Il la traversa d'un pas vif, et entra dans un bâtiment qui semblait sur le point de s'effondrer. Cependant à l'intérieur, tout était équipé de matériaux modernes. Il se stoppa devant une nouvelle porte, qu'il ouvrit via un scanner rétinien.
Il se retrouva alors dans un gigantesque laboratoire, ou une dizaine de personnes étaient en train de travailler sur des personnes endormis. Ils injectaient à ces personnes un drôle de liquide, qui semblait les transformer petit à petit en d'immondes créatures. Il s'approcha de celle qui semblait diriger les scientifiques, c'était Natasha. Elle s'exclama :
N – Peter !! Que me vaut cette visite ? Tu ne devais pas avoir un rendez-vous avec Robb ?
P – Ca c'est fini plus tôt que prévu. Tu as appris pour le Sujet 2 ?
N – Oui … Le dosage était imparfait. Nous allons devoir revoir nos calculs mais nous sommes sur la bonne voie.
P - Ce n'est pas à moi qui faut le dire. Je ne suis qu'un sous-fifre. N'est-ce pas ?
Une femme cachée dans l'ombre lui rétorqua :
? – Je te trouve vachement sévère avec toi-même. Tu m'es quand même vachement utile. Je n'ai aucune raison de m'en prendre à toi comme les recherches avancent bien.
P – J'espère bien.
? – Par contre … En ce qui concerne les beubarz, vous comptez faire quoi ?
P – Rien pour le moment ils sont loin de la vérité, et je fais en sorte de tenir Robb à l'écart de nos affaires.
? – Très bien.
La femme regarda sa main. Une marque blanche était dessinée sur sa paume. Ses yeux étaient noirs avec un cercle blanc, comme ceux de la créature. Elle murmura :
 ? – Une armée de pures pour combattre les impurs … Je suis proche du but … Je vais enfin pouvoir restaurer notre gloire passée … Enfin. Démons ou faux pures … Ce sera la fin pour vous. Je vais recréer le monde comme il devrait être.

The End of Our Highschool Days
Part I End.

Theme :
The Beginning – One Ok Rock



Un homme était en train de jouer sur son pc. Il avait de grandes cernes sous les yeux mais il refusait de céder au sommeil. Soudain il reçu un message sur son portable qui lui disait qu'un monstre sévissait en ville. Sans attendre il enfila son blouson en cuir, attrapa son katana géant et sortit de chez lui pour se rendre sur les lieux de l'incident tout en murmurant :

? – Let's Roll !

The End of our Highschools Days Part I

Posted by : Maxime Hamon
mardi 29 septembre 2015
0 Comments
2 ans pour ce ptit blog c'est pas rien, c'est donc pour ça que je vous livre un nanard ! J'espère que vous allez aimer.

? – Messieurs, mesdames … Ce soir nous allons passer un cap ! Ce soir, nous allons acquérir l'outil nous permettant d'entrer dans une nouvelle ère.
Un homme encapuchonné se tenait face à une foule de fidèles répétant sans cesse "The Asylum". Devant lui, sur un pupitre, se trouvait un étrange livre écrit dans une langue des plus étranges. Il y a des images de tornades, requins à deux têtes et bien d'autres choses aussi farfelues les unes que les autres. Il reprit :
? – Maintenant mes amis … Il est temps … Faite l'ultime sacrifice
Chacun des fidèles sortirent une dague et ils se tranchèrent la gorge d'un geste sec. Leur sang s'écoula sur le sol, dans les rainures d'un immense pentagramme. Une fois totalement remplie, l'inscription démoniaque se mit à briller et l'homme encapuchonné récita un chant satanique. Des éclairs jaillirent du cercle, ainsi que des flammes. Un portail s'ouvrit et un démon s'en extirpa. Il observa l'homme avec la capuche, s'approcha, lui donna un étrange objet puis repassa par le portail qui se referma aussitôt.
La personne retira sa capuche, dévoilant un mec avec des cheveux gras et une vielle casquette toute pourrie. Il avait de grandes cernes et une barbe grise. Il avait une vieille caméra attachée à sa ceinture. Dans sa main, se trouvait une télécommande avec des dizaines de boutons. Chacun avait une petite image représentant son effet. Il caressa frénétiquement la zapette puis susurra :
? – Ma vengeance est complète ….. Vous allez voir … Le monde et surtout vous ... LES BEUBARZ !!!

P – Bon je porte un toast ! A notre dernière soirée de vacances !!
Toute la bande des beubarz était réunis autour d'une table sur un balcon, dans le nouvel appartement de Max. Keke, la mine grave, rétorqua :
K – Enfin tout le monde … Rom est quand même à Lille.
Y – Bah on n'y peut rien tu sais … Il a le droit de ne pas être là tu sais.
K – Ouais mais quand même … Bon je suis sur qu'il s'amuse en ce moment.

No – Alors … Alors … Ou est-ce qu'on va aller ?
Rom – On est perdu n'est-ce pas ?
No – Mais … On prend la rue là puis celle là puis c'est bon !
Rom – On est perdu n'est-ce pas ?
No observa les alentours. Il y avait des types qui se curaient les ongles avec des couteaux tandis que d'autres nettoyaient paisiblement leurs armes à feu. Elle fit face à son homme et lui dit, très sincèrement :
No – Oui nous sommes perdus.
Rom – ESPECE DE ….

T – Mais oui il s'amuse pour un rien de toute façon.
Ad – C'est sur.
Y – Mais j'y pense … Pourquoi elles ne sont pas là ?
M – Qui donc ?
Y – Bah Lily et sa bande.
M – Ah elles ont une soirée à Vannes.
P – Ah donc la notre n'est-pas assez bien pour elles ?
M – Mais nan ! C'est juste qu'elles voulaient faire une soirée, tranquille, entre filles à jouer au tarot.
Y – Oh la loose !!

Pendant ce temps, à la soirée des filles.
V – Oh mon dieu mais comment il fait sa avec la barre ?
Em – De quelle barre tu parles ?!
Les filles étaient alignées, assises sur des chaises. Face à elles, 4 hommes en train de se dandiner en petites tenues autour d'une barre de pole dance. Flavie était frénétiquement en train de balancer des billets de Monopoly. Cependant Roxy restait de marbre. Emma demanda à Lily :
Em – Roxy se fait chier ?
L – Nan c'est juste qu'elle ne s'exprime pas.
Em – Comment tu sais ?
L – A la fumée qui dégage de ses oreilles
Em – Ah je vois!
Fl – Best party ever! On est bien mieux ici qu'avec ces cons à Lorient.

P – Ouais j'suis sur qu'elles s'en mordent les doigts !
Y – Nan mais totalement ….
Ad - …
M - ..
Un long silence s'était installé entre les beubarz. Toto proposa alors, histoire de briser la glace :
T – Si on regardait un nanard ?
M – T'es sérieux ? On a déjà assez donné avec Zombeavers.
P – Allez ca va être marrant.
M – Bon … Tiens il pleut ?
Les beubarz levèrent les yeux vers le ciel, qui s'était couvert de nuages gris. De fines gouttelettes commençaient à tomber, et très vite, elles furent suivit par un véritable déluge. Sans attendre, nos héros allèrent se réfugier à l'intérieur. Pendant que les autres rangeaient les affaires, Adrian observait la pluie par la fenêtre tout en disant :
Ad – Ca n'a aucun sens …. La météo avait annoncé un temps super aujourd'hui !
P – Ouais …. On se croirait dans un mauvais film sérieux ! Bon passons ! Max allume la télé !
Max s'exécuta, et la télévision se lança directement sur une chaine info. Le Présentateur expliquait qu'un phénomène très curieux était en train de se passer en France, comme quoi sur une même région, il y aurait différents climats. Rien que sur la région Bretagne, une partie était sous une tempête tandis que l'autre moitié subissait une violente tempête de neige.  Poté haussa des épaules tout en disant :
P – Au pire ce n'est pas grave j'ai envie de dire, nous sommes à l'abri !
Y – C'est sur !!
Soudain le présentateur reçu un appel à l'oreillette. Il annonça qu'un envoyé spécial se trouvait à Paris pour donner un résumé sur la situation de la capitale. Le journaliste déclarait que de nombreuses tornades étaient apparues sur la ville. Il pointa du doigt l'une d'elles et ajoutait que l'on pouvait voir des ombres bien étranges dans la tornade. Et soudain, un énorme requin s'écrasa sur l'homme, suivit d'un autre qui fit de même sur le caméraman. La caméra continua de filmer et montrait une centaine de requins s'effondrer sur la capitale.  L'image se coupa ensuite et le présentateur tentait alors de rassurer les téléspectateurs. Max éteignit la télé.

Les beubarz restèrent silencieux quelques instants, mit à part Stitch qui grignotait des gâteaux apéros sur la table du salon. Poté dit alors :
P – C'est bien ce que je pense …
M – Là … Je ne sais pas du tout …
Y – Si … Si c'était bien un requin …. Comme dans le film.
T – Comme dans Sharknado.
K – Les mecs, vous devriez voir dehors.
Nos héros s'approchèrent de la fenêtre. Ils virent alors que l'eau montait très vite, et de nombreux troncs d'arbres flottaient parmi les voitures. Les gens couraient affolés, et l'un d'eux se jeta à la fenêtre de nos amis. Ils se regardèrent, puis regardèrent Max avec un air inquisiteur. Ce dernier soupira puis s'apprêtait à ouvrir la fenêtre mais c'était trop tard. L'homme se fit emporter par quelque chose d'inconnu tout en poussant un cri qui fit sursauter nos amis.
Sans attendre, ils se ruèrent vers les affaires. Adrian s'écria :
Ad – Il faut a tout prit qu'on se casse d'ici !!
Cependant Keke s'arrêta en plein milieu de la pièce, puis exprima son opinion :
K – Pourquoi on ne reste pas ici ? On est en sécurité.
M – Bien sur … Mit à part l'eau qui réussit à s'infiltrer bien sur.
K – En effet …. Ouais on se casse!!!
Max attrapa Stitch, ses consoles de Jeu et les mit dans son sac. Ses potes le regardèrent, ce dernier s'offusqua :
M – Hey !! Je viens de la payer !!! Hors de question que je la laisse ici !!
Ils empruntèrent les escaliers puis explosèrent la porte du voisin. Ce dernier se mit à hurler en les voyant mais Poté le calma direct en lui mettant une énorme baffe. Ils ouvrirent la trappe du toit, et une fois dessus, ils observèrent les environs. Ils aperçurent des gens se faire faire à manger par d'autres, qui portaient des queues de castors. Max et Poté devinrent blêmes. Toto commenta :
T – Comme dans Zombeavers … Des castors zombies !
K – Mais c'est n'importe quoi !!! Il se passe quoi là ?
Y – C'est comme si … Nan ce serait trop con ça ne peut pas être ça.
Poté reçut une alerte sur son portable. Il l'observa et vit que des zombies nazis se baladaient dans le nord de la France. Le géant fronça les sourcils puis dit :
P – Attendez …. En ce moment …  Oh non !!!

R – Mais cours bon dieu !!
No – MAIS JE SUIS EN ESCARPINS !!
Notre couple courait dans l'une des nombreuses rues de Lille. Derrière eux, une horde de zombies leur courait après. No balança les choses qui se trouvaient dans leurs sacs.
Rom – PAS MA 3DS !!
No – On doit se rendre plus léger !!!
Rom – NOOOO PAS MON CASQUE !!!
No –Il ne fallait pas les traiter de Juifs alors !!!
La rue était en pente et les zombies gagnaient de plus en plus de terrain sur nos amis. Ils passèrent à côté d'un camion, qui avait encore les clés sur le contact. No eut alors une idée. Il ouvrit la portière et elle desserra le frein à main. Le véhicule commença alors une folle descente vers les zombies qui tentèrent de fuir mais la petite rue les empêchait de le faire. Ils firent écraser comme de vulgaires crêpes. Rom acquiesça, impressionné tandis que No sautait de joie. Mais bizarrement, le camion ne s'arrêtait pas, il continuait sa course folle. Rom questionna :
R – Y a quoi au bout de la rue ?
No – Un orphelinat je crois.
R – Désaffecté ?
No – Nan, toujours en fonction.
R – Très bien …
L'immense véhicule se fracassa contre l'immeuble, qui étant de construction très ancienne s'effondra aussitôt. Cependant ils virent des gens en sortir, ce qui rassura aussitôt Rom et No.
No – Au moins je n'ai tué personne.
Soudain un alligator géant préhistorique apparut et se mit à dévorer le personnel ainsi que les enfants. L'un d'eux hurla avant de se faire croquer :
? – Mais qui a put détruire le seul endroit qui nous protégeait … AHHHH !!!
No resta silencieuse. Rom commenta :
Rom – Bon … Au moins ils n'ont pas souffert …
? – AH MON DIEU MON VENTRE !!! J'AI SI MAL !!
Rom - … On ferait mieux de se barrer nan ? La bestiole se met à nous regarder.
No – Oui on se casse.
Rom – Ca fait encore une boulette, nan ? Oh tu sais je peux ne pas la compter comme ça part d'une bonne attention.
No – Ta gueule !!

P – Notre pays est envahit de monstres …. Venant de mauvais films.
Y – La, actuellement, on se croirait dans un mauvais film.
K – Mais comment …
Adr – C'est une bonne question … d'ailleurs je connais un type …
M – Tu connais toujours un type.
Adri – Je disais je connais un type !!! Qui m'aurait parlé d'un livre diabolique … ayant été écrit par tous les réalisateurs de Nanard dans le monde.
K – Sérieux ? Qui est assez con pour faire une chose pareille ?
Adr – Uwe Boll, Paul W.S Anderson tout ça.
K – Ah ouais quand même.
P – Mais on fait quoi du coup ?
Y – C'est simple … faut qu'on retrouve ce bouquin…
M – Sans indice … Ca ne va pas être simple tu sais ….
Soudain une voix résonna dans tous Lorient via les nombreux haut-parleurs de cette dernière. Il avait un cheveu sur la langue très prononcé. Il s'exclama :
? – Nous que vous avez moqué … A cause de nos mauvais films … Subissez notre colère !!! A partir de maintenant vous allez subir ce que vous avez toujours détesté !!! Vous vivrez dans la peur car à cause de vous, le plus grand génie de ce monde, Uwe Boll, a prit sa retraite !!!   Je vais le faire pour eux !
P – C'est bizarre … Cette voix me dit quelque chose.
? – et J'ai un message spécial pour ces 7 idiots qui ont osé me ridiculiser devant mon propre lycée et ma propre famille …. Je vais faire en sorte que vous souffriez le plus !! Et si vous réussissez à survivre … Vous n'aurez aucune chance de me trou …
"L'embarcadère pour l'ile de l'effroi est momentanément fermé en raison de la tempète qui ravage actuellement la Bretagne".
? – Et merde !!!!

P – Qu'est ce qu'on a encore fait ?
M - Je ne sais pas … Personnellement ça me dit rien.
Y – On se croirait dans un mauvais film sérieux !!
Adri – Justement … C'est ce qu'il veut !!! Il veut transformer le monde en un mauvais film.
Y – Ce n'était pas déjà le cas avant ?
Adri – Il est idiot !!! On y peut rien !
K – Faut qu'on aille sur l'ile je suppose … Mais comment ?
M – On se rend sur le port !
Y – Donc on traverse une ville remplie de castors zombies ?
M - … Oui …
Y – J'aime cette idée !!! Ca faisait longtemps qu'on n'avait pas eu un peu d'action !
P – Ca tombe bien !
Poté sortit ses clés de voiture et appuya sur l'un des boutons. Ils virent alors la nouvelle voiture de Poté arriver vers eux, elle était équipée d'un mode amphibie. Nos amis fixèrent le géant avec surprise, ce dernier déclara :
P – Bah depuis la fois avec l'enlèvement de Max … fallait bien que je me fasse plaisir !
Sans attendre, nos amis sautèrent depuis le toit sur le véhicule. Poté en prit le volant et fit démarrer sa bête. Cependant ils ne firent que quelques mètres. Face à eux, une bête immense. Un requin gigantesque à deux têtes. Nos amis étaient effrayés. Adrian cria :
Ad – OH MON DIEU !! REGARDEZ LA LAIDEUR DE CETTE 3D !!!
K – IL EST FLOU !!! IL EST FLOU !!!
La bête s'élança, de toute sa puissance. Elle n'écoutait pas les moqueries de nos amis. Yann, intrigué, se dit :
Y – Y a un truc pas normal …
M – L'eau arrive à notre taille …
K – Mais pourtant une bête de cette taille arrive à se balader dedans..
P – OH MON DIEU !!! L'ECHELLE A LA MANIERE DES NANARDS !!!! C'est horrible !
La bête ne freina pas et se fracassa la tête contre le pare-choc de la voiture. A l'impact, elle explosa en plein de petits morceaux, qui recouvrèrent le véhicule de nos amis. Après un long silence, Keke demanda :
K – Il vient de se passer quoi là ?
Y – Je crois … Je ne sais pas … la bête n'a pas supporté le choc … Elle a faillit faire un truc digne d'un bon film …
Sans attendre, Poté redémarra le moteur et nos amis se dirigèrent vers le port de Lorient. Malheureusement, très vite un imprévu se rajouta au voyage. Des castors zombies, attirés par la chair du requin, se ruèrent sur la voiture. De leurs dents, ils tentaient de fracasser les vitres. Très vite, ils firent rejoints par des personnes castozomboifiés. Le spectacle était insoutenable. Le maquillage était mal fait, et les castors, eux ressemblaient à des peluches. Nos beubarz étaient proche de la fin. Cependant une énorme vague sortit de nulle part déferla sur nos amis et les emporta. La voiture, emportée par la puissance du courant, valsait dans tous les sens. A l'intérieur, c'était comme une immense machine à lavée. Nos héros étaient trimbalés dans tous les sens. Max hurla :
M – Je vais gerber !!!!
Y – Mais ça n'a aucun sens ! On ne touche aucun immeuble !!! On aurait déjà du mourir !!!! Et elle vient d’où cette vague ?! NOUS SOMMES DANS UN VRAI NANARD BON DIEU !!!!
T – Ca valait le couuuuppp!!!
Et la voiture disparu parmis les nombreux objets emportés par la force de l'eau.

Em – Alors la … Je suis partagé.
Li – Hum … Au moins l'investissement est amorti.
Vi – Ouais mais c'est sale quand même.
Les filles étaient en train de regarder à travers le hublot d'une porte fermée à clé. De l'autre côté se trouvaient les stripteaseurs qu'elles avaient engagés plus tôt.  Ils venaient d'être attaqués par des zombies, mais par n'importe quel type de zombies. Ce sont des zombies gang-bangeurs. Donc ces derniers n'agressaient pas nos pauvres gigolos d'une manière classique. Flavie chuchota :
Fl – C'est quand même surprenant … Qu'ils se soient directement jetés sur les mecs.
L – On doit pas être assez bien pour eux.
Em – Ils sont peut-être juste homosexuels. Ca se fait peut-être chez les zombies.
Rxy - Tarlouze….
Soudain les filles furent prit de dégout en voyant deux zombies prendre l'un des pauvres hommes dans une position rocambolesque. Puis elles se mirent à pencher la tête d'un coté, puis de l'autre, et enfin Roxy commenta :
Rxy – …. Mais vachement souple pour des morts.
Soudain, une fois s'être fini sur les garçons, les morts-vivants tournèrent le regard vers les filles et se ruèrent sur la porte afin de la faire céder. Nos amies n'attendirent pas une seconde de plus et filèrent vers l'un des véhicules présent dans le parking. Elles montèrent en vitesse dedans, et prirent quelques secondes pour souffler. Mais le répit fut de courte durée. Des zombies, le pantalon baissé, se jetèrent sur le véhicule, et commencèrent à taper leur membre putréfié sur les vitres. Viviane se mit à hurler, Emma à prendre des photos et Flavie écrasa le champignon ! La voiture fila à toute allure dans la rue. Lily ouvrit la vite et avec une batte de base-ball qu'elle avait prit plus tôt dans la maison, elle tenta de virer les zombies encore accrochés au véhicule. Emma, qui était sur le siège passager, ne put que constater l'horreur qui s'abattait sur Vannes. Des monstres venant des pires films de la création s'attaquaient aux habitants. Les montres venant des films d'Ed Wood, des dinosaures tellement mal modélisés qu'ils avaient du mal à marcher. Des castors zombies formèrent un mur en face de nos amis, et Flavie dû prendre une décision. Elle fonça dans le tas. Cependant les castors étaient trop nombreux et très vite la voiture fut recouverte par les bestioles.

? – Oh bon dieu …. J'ai mal à la tête.
Adrian ouvrit les yeux. Il avait le visage plaqué contre une des fenêtres de la voiture qui était partiellement brisée. Par chance, la voiture avait été transportée jusqu'au port de Lorient. Il regarda au-dessus de lui. La plupart des beubarz étaient encore attachés à leurs sièges. Il tenta de les réveiller mais aucun ne réagit. Keke manquait à l'appel. Il s'aperçut qu'une vitre avait été brisée. Il s'extirpa du véhicule et vit Keke qui regardait la ville de Lorient. Cette dernière avait été mise à feu et à sang par les monstres. On pouvait voir des crocodiles géants, des tornades remplies de requins ou encore des dragons mal modélisés détruire la ville. Très vite ils furent rejoints par les autres beubarz. Yann dit :
Y – Faut qu'on intervienne … On ne peut pas laisser faire ça …
Poté, qui était en train d'essayer de réparer la voiture, brisa les espoirs de nos amis :
P – La voiture est HS pour le moment … Je n'ai pas le matos pour la réparer.
T – Comment on va faire alors ? On doit se rendre sur cette île pour arrêter ce taré !!
Max ne cessait de fixer un bateau de sport. Keke s'approcha, regarda dans la même direction puis dit d'un air effaré :
K – Nan c'est hors de question !
M – Bah quoi ? Ca reste un bateau tu sais !
K – J'ai dit nan !!!

K – Pourquoi jamais personne ne m'écoute.
Un énorme croiser de l'armée française voguait dans les mers. Dans la cabine, aux commandes de la barre se trouvait Adrian, vêtue d'une belle marinière. Les autres beubarz étaient habillés comme des matelots et s'occupaient de faire fonctionner les machines. Keke qui servait de second à Adrian lui demanda :
K – C'est bien d'avoir volé un bateau mais là … Tu ne crois pas …
A – L'important c'est qu'on arrive sur l'île nan?

? – Monsieur ? Ils arrivent.
Le mystérieux possesseur du livre était assis sur un trône. Il observait les immenses fumées qui, maintenan,t recouvraient une grande partie de la côte. Des personnages venant de nanars l'entouraient dont notamment les quatre fantastiques, les héros de Iron Sky ou encore ceux de House of the Dead. Le réalisateur se retourna et dit, l'air fier :
? – Dans ce cas il est temps d'envoyer l'artillerie lourde.

K – Hum ?
A – Un souci ?
K – Tu vois ce que je vois ?
A – Oh mon dieu …
Face à nos héros se dressait un serpent géant avec des ailes de chauves-souris. Keke resta de marbre tandis qu'Adrian commenta :
A – Mais bordel … Mais bordel … Pourquoi tant de haine ? Bon … Ordonne aux matelots dans la salle des machines d'armer les canons … Attends … Y a qui dans la salle des machines ?
K – Heu … Max et Yann pourquoi?
A – Que Dieu nous protège.

M – Comment ça je ne sais pas faire marcher la canon ?
Y – C'est bien connu ! Tu casses tout ce que tu touches !
M – Nan !!
Derrière Max, la machine alimentant le bateau en eau potable était totalement flinguée, de la fumée s'en échappant et des boulons en sautaient de temps en temps. Max reprit :
M – J'y peux rien si la machine est totalement mal foutue ! Je voulais un verre d'eau !
Y – Elle servait à alimenter le bateau, pas ta petite personne espèce de Roux de merde !
M – JE TE DEMANDE PARDON BLONDINET A LA GOMME ? AU FAIT TU AS PENSE A PRENDRE TES PROT ?!
Y – ET TOI TON BIGMAC QUOTIDIEN ?!
M – AH OUAIS ?!
Y – OUAIS !!!
Des mecs observaient la scène, cachés derrière la machinerie du bateau. C'était des hommes requins. L'un d'eux demanda :
? – On intervient ? Ils sont sans défense là quand même.
? – Je ne sais pas … Ce serait un peu lâche quand même.
? – Je te rappelle que nous bossons pour les méchants !
? – Bon … Je me lance.
L'un d'eux, sans plus attendre, s'élança. Max et Yann étaient trop occupés pour le voir s'avancer vers eux. Ils continuaient de se chamailler. L'homme requin hurla et s'apprêtait à se jeter sur nos amis, mais sans prévenir, ils se tournèrent vers lui et le frappèrent violemment, chacun avec une énorme clé à molette, tout en hurlant :
M+Y – TU NE VOIS PAS QU'ON EST OCCUPE !
La bestiole vola contre l'une des parois du bateau, qui comme par hasard était très fragile à cet endroit. Un petit filet commença à faire son apparition, et très vite un véritable torrent s'infiltra dans le bateau. Max et Yann se regardèrent, puis se ruèrent vers la sortie, tout en prenant soin de fermer la porte. Les hommes-requins étaient enfermés dans la salle des machines qui se remplissait d'eau à vitesse grand V. Les monstres ne semblaient pas inquiets, mais c'est alors que l'un d'eux questionna ses amis :
? – Mais …. Nous sommes des expériences ratés, N'est ce pas ?
? – Oui en quelques sortes.
? – Donc … Si je me souviens bien … Nous avons juste l'apparence, en partie, du requin … Pas ses capacités.
? – Ou tu veux en venir ?
? – Bah …
L'eau était arrivée à leur taille. Et puis ce fut la prise de conscience. Ils se mirent à gratter à la porte, implorèrent les beubarz de les libérer mais personne ne vint. Et ils se mirent à maudire la personne que les avait créé sans la capacité de respirer sous l'eau. Et finalement l'eau submergea ces personnages de nanars malgré eux.

Poté et Toto tiraient au lance-roquette sur le serpent géant, mais cela avait l'effet d'un cure-dent jeté par un vieillard. Adrian hurlait dans la salle des commandes quand Max et Yann vinrent les rejoindre. Keke demanda :
K – Mais vous étiez ou bon sang ?
M – Bah dans les salles des machines … On préparait les canons.
Ad – BAH POURQUOI VOUS N'AVEZ PAS ENCORE TIRES ?!
Y – Alors … Il s'avère qu'on a eu un léger contretemps … Mais rien de grave …
Un énorme bruit se fit entendre et le bateau commença à pencher en arrière. Max, perdant son équilibre, roula en arrière et alla se fracasser contre le mur. Adrian, qui se tenait à la barre, regardait nos deux idiots avec un regard des plus haineux. Yann fit comme s'il n'en avait rien à foutre … comme il fait tout le temps en fait. Poté et Toto tentaient d'échapper à l'immense queue du serpent qui essayait de les choper. Keke eut alors une idée :
K – On a qu'à faire surchauffer les moteurs du bateau. Peut-être que l'explosion va entrainer la bestiole avec elle.
A – Très intelligent … Mais je te rappelle que nous sommes encore sur le bateau !!!
K – Doit bien y avoir un canot de sauvetage.
A – On a plus le choix de toute manière … On fait ça !! Keke occupe toi du canot, je m'occupe de faire surchauffer les moteurs et vous deux, allez me chercher toto et Poté !
Keke, sans attendre, se rua dehors et fit une longue descente en glissade vers les canots qui commençaient à toucher l'eau. Le bateau commençait à pencher dangereusement. Poté et Toto étaient plaqués contre une rambarde, esquivant les charges du monstre géant. La bête décolla dans les airs et commença à faire des piqués sur le bateau de nos héros, provoquant de violentes secousses. Max et Yann escaladaient malgré eux le bateau afin de rejoindre leurs deux amis. Sur le chemin, Yann attrapa une arme accompagnée de plusieurs harpons, et il se mit à tirer sur la créature. Elle esquiva les premiers mais les deux derniers traversèrent ses ailes, la faisant chuter lourdement dans l'eau. Nos héros se précipitèrent en glissade vers Keke qui venait de finir de préparer le canot de sauvetage. Une fois sur place, Poté demanda à Kévin :
P – Ou est Adrian ?
K – Il doit encore activer la destruction du bateau ! Il ne devrait plus tarder.

Ad – Nom de nom !!! Dépêche toi !!!
Adrian regardait les différentes jauges des moteurs. Deux étaient déjà en surchauffe critique mais la troisième se trouvant actuellement sous l'eau avait extrêmement de mal à chauffer. Il appuyait sur tous les boutons pour accélérer le processus mais un râle sourd le stoppa net. Il leva les yeux du poste du contrôle et vit le serpent géant sortit lentement de l'eau. Le monstre cherchait celui qui avait abimé ses ailes. Il ne le trouvait pas mais cependant il remarqua notre héros dans la cabine. La bête ouvra en grand sa gueule, comme pour lancer à Adrian une sorte d'avertissement. Notre héros était comme figé sur place, rester immobile lui ferait gagner un peu de temps. Un petit bip fut suivit de l'allumage d'une troisième diode. Le cerveau ne perdit pas une seconde et se rua vers la sortie de la cabine. Le serpent chargea en direction de cette dernière, sa tête se rapprochant à toute vitesse. Adrian fit alors un énorme saut, ce qui le fit s'exploser contre la porte, et passer à travers cette dernière. Le serpent quand à lui écrasa sa tête contre la cabine, en détruisant une bonne partie mais se bloquant dans les restes de l'édifice. Adrian tomba quelques mètres plus bas et glissa lentement sur le pont du bateau. Une fois en bas, le reste du groupe l'attrapa et le firent monter dans le canot. Le serpent était toujours coincé dans la cabine, et un sifflement lui perçait les oreilles. Et finalement tout explosa. Le croiser vola en milles morceaux, et l'onde de choc causée par la déflagration souffla nos héros, qui propulsa leur bateau contre l'une des iles environnantes. Le choc fut si violent que l'embarcation se brisa au moment de l'impact.
Le corps du serpent retomba dans la mer, l'explosion lui ayant arraché la tête.

Rom – Chut ….
No et Rom étaient plaqués contre un mur. Ils se trouvaient dans un vieil asile dans lequel ils étaient réfugiés. Quelle bonne idée. Une bête immonde et difforme marchait de l'autre côté du mur. Une sorte de mucus jaune coulait de la multitude de trous qui étaient répartis sur son corps. No avait du mal à retenir son dégout. Mais ce fut Rom qui fit du bruit en éternuant à cause des cheveux de No. Sans prévenir, l'horrible créature explosa le mur, attrapa nos deux héros, et leur cracha une tonne de mucus au visage. Elle les relâcha puis s'en alla, comme si de rien n'était. Le couple resta hagard pendant quelques instants, puis Rom lâcha un :
Rom – Nanard de …

Toto rouvrit les yeux. Les beubarz se trouvaient sur la plage. Toto se leva, regarda autour de lui, puis se mit à hurler :
T – On a réussit !!! On a réussit !!!
Le bruit réveilla les autres héros. Ils étaient enfin arrivés sur l'ile. Depuis la plage, ils pouvaient voir un immense château avec des chauves-souris ainsi que des nuages lâchant des éclairs au dessus du toit. Nos amis se regardèrent, l'air blasé. Poté dit :
P – Bordel on se croirait dans un film d'horreur à petit budget …
M – OH MON DIEU !
P – Quoi ?
M – Ta chemise !
P – OH NAN !!! ELLE CHANGE A CHAQUE FOIS QUE JE PARLE !!!
M – UN FAUX-RACCORD !!! VITE RETIRE-LA !!!
Poté enleva sa chemise et la jeta à la mer. Poté souffla quelques secondes, puis reprit :
P – C'est bon … Je suis sauf, tout va …
M – OH MON DIEU !!!!
P – PAS ENCORE !!
Après quelques minutes, nos amis se dirigèrent vers le château, avec le pauvre Poté qui était en slip. La route fut sans embauche, étonnamment. Ils arrivèrent à la porte, qui s'ouvrit toute seule. Ils entrèrent sans se faire prier. Le hall était remplit d'affiches de films ayant échoués au box-office et ayant été boudés par les critiques. Une voix se fit entendre via un haut-parleur :
? – Vous voilà enfin !! Je pensais que mes calamités vous auraient fait la peau mais visiblement vous êtes coriaces !!!! Donc je vous ai réservé un traitement spécial … Montez les escaliers et entrez dans la salle de réception.
Les beubarz s'exécutèrent sans poser de questions. Ils montèrent les escaliers les uns après les autres. Ils se retrouvèrent devant une immense porte avec marqué "This is the End". Yann soupira, puis sans attendre l'avis des autres, il ouvrit l'immense porte. C'est ainsi qu'ils arrivèrent dans l'immense salle de réception qui avait une dizaine de portes sur chacun des cotés. Au milieu de la pièce, 7 miroirs. Intrigués, nos héros avancèrent pour les observer de plus près. La voix de mystérieux possesseur du livre se fit entendre à nouveau:
? – Qu'est-ce que vous voyez ?
M – Bah nous …
Y – Un mec incroyablement séduisant.
P – Un gorille en slip ?
Ad - … Dieu.
? – Nan … Nan !!! Ce que vous voyez là … C'est ce que vous êtes vraiment. Des acteurs d'une histoire ratée, celle de votre vie. Vous pensez être à part, vivre des aventures incroyables mais elles sont sans intérêt.
M – Azi ! Critique pas ce que je fais !
? – Vous êtes des nanars !! Regardez-vous ! Des héros totalement sans envergure !!! Vous ne vaudrez jamais rien ! Un mec avec une peluche bleue, un fan de communisme, un bodybuilder … Sans parler de vos amis … Vous me donnez la gerbe !!

Les beubarz ne tentèrent pas de rétorquer. Ils se fixèrent dans le miroir encore quelques instants puis Poté répondit, très calmement :
P – Et alors ?
? – Quoi ?
M – Nous sommes contents ainsi ! Ces histoires … Elles représentent ce que nous sommes. Une bande de tarés qui vivent des aventures totalement incroyables sans faire attention à ce que pense les autres. Nous n'imposons rien. Nous sommes juste The Band.
? – Mais … Vous devriez être couvert de honte !!
Y – Ce serait plutôt toi qui devrait l'être, n'est-ce pas … BORIS ?
Bo – QUOI ?! Comment vous …
Ad – Y a qu'un seul mec qui pourrait nous en vouloir comme ça … et c'est toi.
Un écran descendit du plafond et le visage de Boris y apparut. Il semblait très énervé, une énorme veine se trouvait sur son front et elle semblait prête à éclater. Il frappa du poing sur une table, ce qui fit trembler la caméra. Il aboya :
Bo – Oui c'est moi ! A cause de vous … J'ai tout perdu ! Ma crédibilité !! J'avais fait un film parfait !! Enfin J'en avais fait plusieurs ! Et a chaque fois, à chaque concours … Vous m'avez battu … Tout le monde se moquait de mes films!
K – En même temps faire des films sur un couple de mouches danseuses de claquettes …
Bo - SILENCE !!! J'ai essayé de me relancer après le lycée mais les gens ne parlaient que de vous … J'ai faillit en finir … Puis j'ai trouvé ce bouquin et la... la... Je vais avoir ma vengeance.

Les portes sur les cotés de salle s'ouvrirent et des râles s'en échappèrent. Les six beubarz se resserrèrent, pour ne pas laisser d'espace vide entre d'eux. D'immondes zombies mal maquillés s'extirpèrent des portes. Pour certains, le maquillage se décollait et d'autres ressemblaient plus à des clowns qu'autre chose. Max se figea, se mit à trembler comme une feuille, devint blême et tomba comme une pierre sur le sol. Poté soupira :
P – Va vraiment falloir qu'il règle ce problème avec les zombies.
To – Surtout que la ce n'est pas le moment de s'évanouir.
K – Je vais vous montrer.
Keke attrapa une chaise, et se jeta en hurlant sur un zombie. Il fracassa la chaise sur le crâne de ce dernier de toutes ses forces. Le monstre tituba quelques instants, secoua la tête puis se mit à hurler sur Keke comme si de rien n'était, tout en prenant le temps de lui postillonner de la bave putride au visage. Kéké recula de quelques pas, puis dit tout bas à ses amis :
K – Bon c'était pour vous montrer ce qu'il ne faut pas faire.
Tout semblait fini pour nos amis. Les monstruosités se rapprochaient de plus en plus. Ils n'avaient plus de quoi se défendre. Mourir de la main de monstres aussi mal fait, c'était insoutenable. Alors ils décidèrent de tous fermer les yeux.

Cependant, la porte derrière eux s'ouvrit dans un énorme fracas. Sur le pas de cette dernière se trouvait Lily, Roxy, Emma, Viviane et Flavie, toutes couvertes de sang. Lily pointa du doigt l'écran et s'écria :
L – Ah te voila ! Alors tu te crois malin à gâcher notre soirée ?! Je les ai payés ces mecs-là ?! Tu vas me rembourser peut-être ?! Nan ?! Alors je vais te montrer ce qu'il en coute de m'énerver !!
Lily souleva sa batte, s'avança à vive allure vers les zombies et frappa l'un d'eux, allant jusqu’à lui arracher la tête et l'envoyer s'écrasée contre le mur. Les beubarz regardèrent la tête couler lentement le long du mur. Une fois qu'elle toucha terre, ils se mirent à hurler comme des fillettes. Flavie dégaina une énorme tronçonneuse et mit à découper en morceaux des zombies à la pelle. Viviane, qui avait une lance pour on ne sait quelle raison, empala 4 zombies qui se tenaient les uns derrière les autres puis les balança à travers la fenêtre. Emma sortit un pistolet à clou et tira sur les différents zombies qui tentaient de s'approcher de nos héros. Roxy quant à elle dégaina un fusil à pompe et tirait sur ceux qui tentaient de l'attaquer, tout en ayant un rire sadique. Lily cassa sa batte sur un des zombies qui se balada le cerveau à l'air avant de s'écraser sur une des tables. Elle en attrapa deux autres, et les planta sur des pics qui se trouvaient sur le mur. Malheureusement pour Flavie, sa tronçonneuse s'enraya et des zombies foncèrent vers elle. Elle ne paniqua pas, elle prit appuie sur une chaise qui traina par la et sauta sur les zombies les pieds en avant, passant à travers deux d'entre eux. Roxy frappa des morts-vivants avec la crosse de son arme, allant jusqu’à arracher la mâchoire de certains. Viviane attrapa deux zombies par la nuque, les explosa sur la table sur laquelle elle monta, puis elle sauta dessus afin de les achever. L'arme d'Emma s'était abimé et elle dû finir les zombies en les attaquant avec des clous.
Lily brisa le cou d'un zombie, lui arracha la tête et cria à nos beubarz, qui étaient pétrifiés par la peur, ne sachant plus s'ils devaient avoir peur des zombies ou plutôt des filles :
L – Foncez en finir avec l'autre zouave !! On s'occupe d'eux.
Les beubarz ne bronchèrent pas, tandis que Max commençait à peine à se réveiller. Lily s'éclaircit la gorge et reprit doucement :
L – BARREZ-VOUS SINON JE VOUS CASSE EN DEUX !!!
Face à ces paroles fleuries, ils décidèrent de ne pas chercher à négocier et ils coururent à travers la salle, empruntant la porte derrière l'écran d’où était apparut Boris.

Ils prirent un couloir qui semblait faire plusieurs kilomètres de longueur et ils finirent par arriver dans une immense salle avec en son milieu un gigantesque puit dégageant une lumière violette. Boris venait juste de finir de réciter quelque chose. Keke le menaça :
K – Rends-toi !! Ca ne sert à rien de résister !!
Il eut un petit sourire narquois et contredit Keke :
B – C'est vous qui devriez vous rendre …
Et il plongea dans le puit. Les Beubarz tentèrent de le rattraper mais c'était trop tard. Lorsqu'il toucha le liquide au fond de ce dernier, la lumière violette monta jusqu’au ciel via un trou dans le toit et forma d'immenses nuages noirs. Un puissant souffle s'extirpant du puit poussait nos héros vers l'arrière. Les monstres un peu partout dans le monde fut renforcé par l'immense  nuage qui recouvrait maintenant la planète, devenant tous deux fois plus agressifs. Une main s'accrocha au rebord du puit, suivit d'une autre et ce fut une abomination qui en sortit. Boris n'avait plus visage humain, il était totalement déformé et son corps était un mélange de monstres en tout genre. Sur son torse se trouvait attacher le nanarnicon, le livre lui donnant toute son énergie. D'une voix roque, il déclara :
B – C'est ça le pouvoir de Nanarnicon ! J'ai tous les attributs des monstres de mes films favoris !!! Vous êtes finis !!!
M – Haha …
B – Qu'est ce qui te fait rire ?
M – Rien … Enfin si.
Les beubarz affichaient tous un sourire confiant. Ils ne craignaient pas la chose qu'ils avaient en face d'eux. Max sortit un petit carnet de sa poche, l'ouvrit et dit tout le feuilletant :
M – Nous aussi on a nos bouquins magiques !!
Max s'arrêta à une page et appuya dessus avec son index. Une lumière s'en échappa et enveloppa nos héros de lumière. D'autres faisceaux s'éparpillèrent pour rejoindre Lily et ses amis qui étaient aux prises avec les zombies ainsi que No et Rom qui se trouvaient à l'autre bout de la France. La lumière qui enveloppa nos héros devint si forte qu'elle aveugla ceux qui se trouvaient autour. Boris hurlait que c'était inutile, qu'il allait de toute manière mettre fin à leurs aventures. Cependant lorsque la lumière s'atteignit, il se trouva face à quelque chose de peu ordinaire. Les beubarz étaient dans de drôles d'accoutrements. Poté était habillé en aristocrate vampire et Yann en cowboy. A Lille, Rom était maintenant vêtu d'un pardessus noir et il avait un énorme magnum dans la main gauche, tandis que No était habillé comme une voleuse de haut-vol. Ils purent ainsi se défendre contre les chiens mi-zombies mi-chats qui se dirigeaient vers eux. Lily et le reste des filles, qui étaient sur le point de se faire déborder par les zombies, purent reprendre le contrôle de la situation, s'étant transformé en une sorte de famille mafieuse armée jusqu'aux dents. Quand aux autres :
Ad – Max …
M – Hum ?
Ad – Pourquoi Keke, toto et moi nous sommes floutés ?
M – Pas de spoilers.
K – Mais ...
M – Pas de spoilers !!!
T – Et toi ?
Max était à poil, avec une feuille de vigne à la place du … Fin vous voyez. Toto soupira :
T – Ca va trop loin là …
M – J'y peux rien si je n'ai pas encore d'idées pour moi.
Bo – CA SUFFIT !!!!!!!!
Boris tenta de frapper Max au visage mais ce dernier se baissa au dernier moment.  Yann dégaina son pistolet et tira dans ses yeux pour le rendre aveugle, sachant bien que ce ne serait pas suffisant pour tuer une telle créature. Poté envoya des filets de sang lui transpercer les bras et les jambes afin de l'immobiliser. Max se remonta les manches et accompagné de Toto, Keke et Adrian, ils se mirent à tirer sur le livre afin de l'arracher, et ceux malgré les supplications de Boris :
B – ARRETEZ !!!! VOUS N'AVEZ PAS LE DROIT !
K – OH QUE SI ON A LE DROIT !
B – VOUS ALLEZ ENCORE ME PRENDRE CE QUE J'AI DE PLUS CHER !!
Ad – Un truc qui sert à faire des mauvais films n'est pas précieux.
B – QUE VAIS-JE DEVENIR ?!
T – RETOURNE A L'ECOLE DE CINEMA !!!!!!! WOOOOOOO !!!!
Ils finirent par l'arracher, et Boris lâcha un cri qui résonna sur toute la planète. Max attrapa le bouquin et le lança à Stitch qui le mangea aussitôt :
(Ca a vraiment un sale gout cette daube)
M – Je te le revaudrais.
Bo – NOOOOOOOOO !!!!

Son corps se désagrégea au fur et a mesure des secondes tandis que toutes les créatures qu'il avait lâchées sur le monde finirent par disparaitre. Après quelques instants, il avait recouvré son corps d'origine. Il était faible à cause du choc, mais ça les beubarz n'en avaient que faire. Eux aussi venaient de retrouver leurs formes d'origines. Ils s'approchèrent lentement de Boris qui essaya de s'enfuir mais Poté l'attrapa par le col, le décolla du sol et nos héros l'entourèrent tout en se craquant les doigts. Il les suppliait de l'épargner mais Yann rétorqua :
Y – Mais on ne va pas te tuer … Ca va etre bien pire.
Ils installèrent Boris face à une télé et lui mirent en boucle les meilleurs films des 20 dernières années. L'homme tomba dans les pommes au bout du troisième, dépassé par le génie d'Orson Wells et son Citizen Kane.

Les beubarz quant à eux attendaient tranquillement, postés à la plage, que quelqu'un viennent les chercher. Lily s'approcha de Max et lui demanda :
L – Du coup je me demandais … C'était quoi les courts-métrages que vous présentiez au lycée ?
M – Oh des conneries … J'ai jamais compris pourquoi on gagnait à chaque fois … Apparemment c'était de l'art contemporain.
L – Sérieux ?
M – Bah voir Poté et Rom danser sur du SM c'est une forme d'art.
L – Je comprends mieux pourquoi il avait les boules …
Lily s'en alla et Max observait le soleil se coucher, comme dans n'importe quel film à petit budget. Soudain, il eut comme une idée. Il bondit sur ses deux pieds et se rua pour dire à ses amis :
M – Tiens ca m'a donné une idée de Beu …
C'est alors que tous en cœur, ils rétorquèrent :
TLM – TU NOUS FAIS CHIER AVEC TES BEUBARZ !!!
Max resta de marbre durant quelques instants à cause du choc de la réponse, puis il laissa échapper un petit :
M – C'est quand même vachement radi … PAAAF !
P – AH TU L'AS PAS VOLE CELLE LA !

Beubarz contre Nanarz.
Fin !

Theme :
California Dreaming.



Game On.



Free bird. (A partir de 4mn 30)






Beubarz vs Nanarz.

Posted by : Maxime Hamon
samedi 19 septembre 2015
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Après une longue absence d'une semaine me revoila, pour vous présenter le truc sympa de ce mois de Septembre, et une fois n'est pas coutume, nous allons parler Jeu Vidéo.

Direct ça pose les couilles !
Alors Until Dawn est un survival-horror sortit en Septembre 2015, développé par Supermassive Games et édité par Sony, ce dernier étant une exclusivité PS4. Il faut savoir que ce jeu est la grande surprise de la rentrée, ayant été largement encensée par les critiques et les joueurs, des let's play de ce dernier pullulant sur le Web.
Il peut-être noté qu'il est fortement inspiré de jeux comme Heavy Rain ou Beyond Two Souls.

Histoire.

Until Dawn se veut comme un véritable hommage au slasher movie, donc Vendredi 13, Halloween, Scream ce genre de films.
Je ne spoil pas l'intro du jeu qui pose direct les bases de ce dernier, donc pour résumer Until Dawn nous raconte la réunion d'un groupe de 8 amis dans une maison de vacances perdue au sommet d'une montagne, 1 an après un évènement tragique qui a fortement marqué le groupe. Malheureusement la réunion ne vas pas se passer comme prévu, puisqu'un tueur à décidé de s'en prendre à eux, pour une raison qui sera au cœur de l'intrigue.
Le scénario peut paraitre classique mais il se développe très vite et devient très vite intéressant.

Ce type est le psy le plus chelou que j'ai jamais rencontré ... et le 1er aussi.
Personnages

Les personnages, bizarrement, ne sont pas des stéréotypes présent dans ce genre de films mais des jeunes lambdas. Bon c'est sur, ce sont des jeunes à l'américaine donc parfois ils vont nous sembler u  peu bizarre mais je trouve qu'ils sont dans le ton. Très vite, vous aurez vos préférés et ceux que vous ... fin voila. Ce qui ajoute un sacré dimension au jeu puisque vous allez tout faire pour les garder en vie, créant une véritable empathie chez le joueur.

Ecran de choix à la Until Dawn


Gameplay.

Le gameplay est simple. Vous vous déplacez dans les environnements à la recherche d'indices et d'autres objets à récupérer. Chaque endroit comporte différents chemins à prendre, ayant souvent une influence sur la suite de l'histoire.
Assez souvent dans le jeu, il vous sera demandé de faire des choix. Des fois inutiles en apparence, et des choix vitaux. Le jeu reposant sur le système de l'effet papillon, chaque décision que vous allez prendre, chaque objet que vous avez choisit de toucher ou pas, ou même un mot de travers avec un personnage peut changer le destin d'un des 8 héros.
D'ailleurs le jeu à une dimension Rpg, car les relations entre les personnages sont montrer et elles changent en fonction des choix. On ajoute aussi des caractéristiques propre comme l'humour, le romantisme tout ça, qui change encore une fois selon vos décisions.

Ca t'ennuie si je reste regarder ?
Graphismes 

Le jeu est beau, très beau. Pour de la PS4, ca montre qu'un cap à été passé. Les personnages sont très bien modélisés, pareil pour les paysages. Les décors manque de variétés mais en même temps en montagne. Tout est convaincant, ce qui ajoute grandement à l'ambiance du jeu. D'ailleurs en parlant d'ambiance ...

Bonjour, je viens pour le contrôle fiscal.


Ambiance

C'est primordial pour un jeu d'horreur, c'est ce qui va déterminer s'il est réussit, et la ... C'est le cas. Les sons sont flippant a souhait (le joueur étant aux aguets à chaque petit bruit), les situations stressantes et la lumière est très bien utilisés. Les décors sont glauques à l'extrême, mention spéciale pour l'asile de fous.
Et les choix .... Je n'ai jamais éprouvé un tel désarroi devant la mort d'un personnage, tout ça que nous avons voulut la jouer safe ... Impressionnant.
Bref c'est une réussite.

Conclusion :

Alors Until Dawn est une surprise, très belle surprise. J'avais eu un peu peur en voyant la présentation du jeu mais je me suis totalement trompé. Rarement un jeu d'horreur m'avait foutue une telle claque, tant en matière de réalisation que d'ambiance.
Si vous avez une PS4, courrez sur ce jeu, je vous l'ordonne !!

Truc Sympa du mois de Septembre.

Posted by : Maxime Hamon
mardi 8 septembre 2015
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