Posted by : Maxime Hamon vendredi 9 janvier 2015

Ceci est un test de réécriture, en vue de la publication de la saison 1 des Beubarz en PDF, car c'est normal de tout remettre au même niveau, je ne pouvais pas me permettre de laisser ces beubarz dans cet état.
Voici le texte original pour comparer :
Original

Chaque héros à ses amis, mais chaque héros à aussi ses ennemis, celui qui va le pousser à dépasser ses limites, et aussi le corriger pour chacune des conneries qu'il dit et fait.
Max était en train d'écrire sur son pc. Lily qui était en train de jouer à la PS3 le remarqua et s'approcha de lui, déchiffra la citation sur l'écran et lui lança :
L – Pas mal ta citation, elle te vient d’où ?
Max s'arrêta, puis lui répondit :
M – Des céréales Fitness.
L – Ah …

Soirée du 14 septembre, les filles dansaient comme des folles comme à leur habitude sur la madison tandis que Sandra et Adrian débattaient sur la littérature de tout temps, et l'on pouvait entendre Gaby hurler :
G – A bas les hommes !!! On devrait leur couper les couilles !!!
No – Moins fort Gaby ! … Ils pourraient …. nous entendre.
Les autres beubarz étaient assis sur le canapé, en train d'observer la scène tout en buvant un verre. Poté fixa son verre pendant quelques secondes puis soupira :
Po – Ca y est … déjà la rentrée … Les vacances sont bien finies ! Le stress va nous envahir de nouveau !
To – Oui … Ca me gave.
M – Oh franchement moi ça va !
Rom tourna la tête vers Max puis lâcha sur ton cynique :
Rom – Pourtant tu devrais être celui qui s'inquiète le plus, après 2 ans d'échecs consécutifs.
Le visage de Max devint blême et rétorqua sèchement :
M – Oh ça va ! Ce sont des études qui n'étaient pas faites pour moi.
Y – Ou alors toi qui n'est pas fait pour les études.
Yannou se mit à sourire ainsi qu'a rire alors que Max hurlait qu'il voulait le tuer et le transformer en hachis parmentier. Il prit une gorgée de son verre puis se moqua des autres beubarz :
Y – Oh moi ça va, je me sens pas trop inquiété par la reprise.
T – En même temps … tu n'as pas de raison d'être inquiété, vu que tu restes chez toi à glander !
Y – Je ne glande pas ! Je bosse les cours chez moi … C'est dur vous savez !
M – Ça ne change pas grand chose en fait !
Y – Alors primo je …
Un bip se fit entendre, Poté sortit son portable puis commença à lire ses mails. Keke se mit au dessus de son épaule et espionna les courriers de Poté, et tout en faisant cela il remarqua que certains d'entre eux venaient du même expéditeur. Il approcha son regard, et fini par constater qu'il recevait les mêmes mails que Poté depuis quelques jours, il décida de questionner Poté :
K – Toi aussi tu reçois des mails de menace ?
Poté, leva la tête, vit Kéké en train d'espionner son portable, et lui répondit tout en décalant son portable d'un air suspicieux :
P – Une semaine environ …. Des menaces bizarres … Je n'y comprends vraiment rien ! Ça parle de vengeance et tout.
Leur discussion interpella Yann qui était en train de bloquer d'une seule main Max qui tentait de lui sauter dessus pour l'étrangler. Il s'incrusta aussitôt dans la conversation :
Y – C'est marrant moi aussi j'en reçois ….
Très vite les beubarz constatèrent qu'ils recevaient tous les mails venant de cet inconnu, et ils ne savaient vraiment pourquoi ce dernier leur envoyait des menaces. Poté émit l'hypothèse suivant :
P – Il a dû se tromper de destinataire.
M – Se tromper sept fois et comme par hasard seulement avec des types de la même bande, ça fait quand même une drôle de coïncidence !
P – C'est sur … Mais je ne vois pas qui peut nous en vouloir ….
Y – En même temps … On ne se souvient même pas de notre période au lycée alors … Ni collège d'ailleurs.
No, choquée par ce que venait de dire Yann, demanda à Rom :
No – C'est quoi ces histoires ? Vous ne vous souvenez même pas de votre période lycée ?
Rom se tourna vers ses amis, qui le regardèrent tous avec les mêmes regards désespérés. Rom tenta de donner un début de réponse :
Ro – Ce n'est pas qu'on ne s'en souvient pas mais …. On a quelques trous… et quand on demande à nos parents, ou à des proches, ils ne sont pas fichus de nous répondre non plus... Mais on a les grandes lignes.
San – Les grandes lignes ?! Mais c'est quoi cette histoire conne et totalement illogique ?! Tu ne peux pas oublier des fragments de ta vie comme ça !
No – Nan mais c'est juste une question d'habitude tu sais, tu en apprends tous les jours avec eux, Je suis sur qu'ils nous cachent des choses! Tu me diras (No se tourna vers Rom) ça présente certains avantages, ce côté mystérieux.
Ga – Lesquels ?
No – Bah mon voisin ne me casse plus les couilles depuis qu'ils sont allés le voir ! D'ailleurs …. Il a déménagé je crois.
Sa – Quowa ?
No – Je te raconterai ça une prochaine fois.
Adrian, prit aussitôt le rôle de la raison :
A – Nan mais on a mon avis ce sont des conneries ! Ça doit être un mec qui a dû prendre les adresses e-mails qu'on avait donné au lycée et faire une blague, rien de bien méchant je pense.
M – Tu crois ?
A – Nan … Profitons du fait que nous soyons ensemble et parlons d'autre chose pour changer, essayons de parler de quelque chose d'intelligent, d'avoir une conversation enrichissante !
Beu – Yeah !
Un gros silence s'installa dans la pièce. Les beubarz se regardaient dans le blanc des yeux, ne sachant pas quoi se dire. Soudain la voix de Max s'éleva dans la pièce :
M – Sinon … Vous avez vu le trailer du prochain Call of Duty ?
Y – C'est de la merde.
P – Je suis d'accord.
R – Je ne peux pas vous laissez dire ça ! Franchement il a l'air …
No demanda à Keke alors que les autres commençaient à se taper dessus avec des oreillers :
No – Y a des femmes dedans ?
K – Euh... je ne crois pas.
No – QUOI ? C'est vraiment un univers macho le jeu vidéo, on devrait tous vous couper les couilles !
Romain qui venait de prendre un coup d'oreiller en pleine gueule, se permit de faire un commentaire :
R – En même temps les femmes …
No – Quoi ?
R Elles ne servent à rien !
No – Rom je vais te tuer !
No attrapa un oreiller et commença à frapper Rom avec, Gaby quand à elle dormait dans un coin de la pièce et Sandra lisait son bouquin, ne voulait plus avoir affaire à cette farce.
Adrian regardait la scène puis se frappait le crâne avec dégoût tout en pensant :
A – Jamais je n'arriverais à faire quelque chose de ces idiots...
Et la soirée se termina dans l'ambiance habituelle.

Quelques jours plus tard, Poté sortait d'une salle de classe de l'IFSI accompagné de son pote Julien qui lui proposa d'aller faire un tour dans un bar de la ville. Poté refusa, expliquant qu'il avait pas mal de boulot en retard. Julien compris et s'en alla dans la direction opposée. Notre ami quant à lui s'avança vers l'une des salles informatiques du campus. Sur son chemin, il passa à coté d'une photo de lui pleine de graffiti. Il continua son chemin mais après quelques instants il se stoppa net, fit volte-face, arracha la photo du mur puis laissa échapper un énorme : « C'est quoi ce Bordel ?! »
Il regarda à nouveau le mur et s’aperçut qu'une dizaine de photos de lui étaient affichées sur le mur. Un « crack » se fit entendre dans un petit coin de son cerveau. Il se mit à arracher une à une les photos tout en poussant des hurlements hystériques, puis il les jeta violemment dans une poubelle. Il plissa ses vêtements qui étaient tout chiffonnés suite à sa crise de nerf, souffla un bon coup puis reprit sa route. Mais après quelques pas, il remarqua que des gens le montraient du doigt, tout en tenant une affiche, cependant Poté se contenta d'ignorer les regards car ils ne devaient être que le fruit de son imagination. Une fois arrivé dehors, il s'aperçut qu'une petite foule s'était rassemblée autour d'une personne légèrement surélevée. Poté s'avança dans la foule, et poussa plusieurs personnes pour pouvoir s'approcher du fameux centre d'intérêt. Il finit par arriver au centre du cercle, et constata que la personne qui provoquait tant d'intérêt chez les étudiants était un garçon de son âge, incroyablement beau. Il avait une longue chevelure qui tombait jusqu'en bas de son dos, ses yeux étaient d'un bleu profond et son visage pouvait captiver n'importe quelle personne tellement sa beauté était unique. Le regard du jeune homme croisa celui de Poté. Il stoppa alors son speech, descendit de son piédestal et s'exclama tout en montra notre ami du doigt :
« Vous voyez cet homme ? Il a fait de mes années lycée un enfer ! J'étais au plus haut de la hiérarchie mais lui et son groupe d'amis nous ont fait du mal ! Beaucoup de mal ! Je me suis retrouvé seul … sans rien … Puis un glorieux bienfaiteur m'a tendu la main, et voila ce que je suis devenu : la perfection !!! Cet homme est un monstre ! Prenez garde à lui ! »
Des regards de dégoût et suspicion se posèrent sur Poté ; les gens qui se tenaient à coté de lui se décalèrent, et notre beubar entendit des chuchotements parmi la foule, le traitant de "monstre" ou encore "d'ordure". Poté, las de cette situation, s'approcha du mystérieux jeune homme et déclara tout en restant très calme :
P – Je ne sais pas qui tu es, mais tu dois être sacrément mal informé pour me dire ça … Car j'étais quelqu'un de très apprécié dans mon lycée.
? – Ah bon ? Pourtant tu ne te souviens de rien.
P – Que … Comment tu le sais ?
L'inconnu se rapprocha de l'oreille de Poté et lui chuchota :
? – Je le sais parce que j'étais là … Si vous n'étiez pas là, il aurait été à nous ce lycée … Mais toi et votre maudite Section Occulte en avez décidé autrement … Mais soit … C'est le passé et maintenant c'est moi … Je veux dire nous qui avons le contrôle …
Il recula d'un pas et dit :
? – Si vous m'aimez … et je sais que vous m'aimez, montrez à cet homme ce que c'est de souffrir.
Soudain, la foule se mit à hurler et commença à balancer de la nourriture, des choses de tout sorte sur Poté qui dû aller se réfugier dans sa voiture, et démarrer directement, pour ne pas subir les foudres des étudiants.
L'homme regardait Poté s'éloigner, il prit son portable et appela un de ses contacts :
? – C'est bon de mon côté.

Au même moment, à Vannes, une conférence se tenait sur la relation entre le Football et le bien-être humain. Kéké et Adrian y assistaient. Après avoir passé une demi-heure à soupirer, Adrian chuchota à Kéké :
A – Je n'arrive pas à croire que tu m’aie traîné ici !
K – Oh ça change un peu de ce qu'on va voir d'habitude, et puis ça fait du bien d'ouvrir un peu son esprit à des choses qu'on déteste.
A – t'en foutrait des "Ouvrir ton esprit".
La conférence se déroulait normalement jusqu’à ce que deux intervenants masqués montent sur l'estrade. Ils semblaient ne pas être invités étant donné la réaction des organisateurs suite à leur intrusion. Ils tentèrent de les faire partir mais l'un des deux hommes dégaina une arme. L'autre les chassa de l'estrade en les soulevant d'une seule main, sans aucune peine. Adrian et Keke se levèrent pour intervenir mais l'homme à l'arme hurla en pointant son arme sur une personne du public :
? – Ne bougez pas !! Sinon je lui explose la cervelle !
Keke et Adrian se figèrent, l'homme reprit aussitôt :
? – Parfait … Maintenant vous deux, vous vous asseyez ! C'est pour vous qu'on vient, ce serait dommage de vouloir en finir si vite.
Keke et Adrian se regardèrent, puis se rassirent sans faire d'histoires. L'homme sortit une clé USB de sa poche et la brancha sur le pc. Il ouvrit un fichier Powerpoint montrant la photo d'un score de football. Keke regarda le score, plissa les yeux, puis murmura à Adrian :
K – C'est marrant ce score me dit quelque …
Mais l'homme masqué lui coupa la parole en hurlant :
? – Jamais ! Jamais je n'ai oublié ! Jamais je n'ai pardonné ce qu'il m'a fait ! J'avais déjà connu l'affront au lycée, ce dernier m'ayant humilié … Martyrisé … frappé ! Mais j'ai voulu tout misé dans un seul match, un seul espoir de pouvoir me venger, MAIS TU NE M'AS MEME PAS LAISSE CETTE CHANCE !
Il pointa Keke du doigt, ce dernier ne comprenait pas de quoi l'homme parlait. Alors l'inconnu prit une grande inspiration et soupira :
? – Je suppose que je vais devoir en arriver là …
Il retira son masque. Keke d'abord choqué, se leva et finit par hurler :
K – BORDEL JIBCON CA FAIT DEUX ANS ! PASSE A AUTRE CHOSE !
J – Jamais ! dit-il en serrant les dents, Jamais je te pardonnerais pour ça !!!
Il sauta sur l'estrade comme un gamin de six ans à qui on avait enlevé son jouet, mais son compagnon finit par le calmer. Il dit alors d'un ton solennel :
J – Mais l'heure n'est pas a la vengeance... On réglera ça plus tard. Ciao Beubarz !
Jibson s'appuya sur l'épaule de son partenaire qui s'envola aussitôt dans un immense fracas et explosa le toit de l'amphithéâtre. Keke dit alors à Adrian :
K – On ne devrait pas prévenir les autres ?!
A – On devrait …. Mais je me demande qui est la personne qui l'accompagnait …

Yann était sur Wow, comme à son habitude, se baladant tranquillement, lorsqu'il croisa un autre avatar, qui semblait totalement perdu. L'avatar lui demanda par discussion privée :
? – Serais-tu ou se trouve Les Mortemines ?
Yann, comme il n'avait rien à faire d'urgent, prit le temps de répondre au joueur débutant.
Y – A la Marche de l'ouest.
? – Merci.
L'avatar s'en alla. Yann décida de se rendre dans une autre région pour explorer un peu l'histoire de cette dernière. Sur place, il remarqua que l'avatar qu'il venait d'aider se trouvait au même endroit, mais il se contenta de l'ignorer. Mais plus il avançait, plus il remarquait que l'avatar le suivait. Au bout d'un bon quart d'heure, Yann se stoppa et demanda à l'avatar :
Y -C'est quoi ton problème à me suivre ?!
L'avatar ne répondit pas, Yann décida qu'il était plus juste de s'en aller mais c'est avec stupeur qu'il constata que son avatar ne répondait plus à ses commandes. Il pensa d'abord à un lag mais il remarqua que l'autre avatar bougeait malgré tout. Ce dernier s'approcha du personnage de Yann, et commença à lui enlever des Pv alors qu'il est environ 80 niveaux inférieurs, et que le mode joueur contre joueur était désactivé. Yann essaya un dizaine de commande sur son Pc mais rien ne changea, Et il vit son personnage se faire violer littéralement sous ses yeux par l'avatar bas niveau, puis mourir sans qu'il ne puisse rien faire. Puis l'écran de son PC s'éteint, et se ralluma sur le texte :
"Tu es a moi Yann, et à personne d'autre … Je serais bientôt là pour toi ne t'inquiètes pas. »
Puis tout revint à la normal. Yann resta sans rien dire à fixer son écran pendant de longues minutes, puis il lâcha un :
Y - … Quowa ?

Rom attendait No en compagnie de Max qui lisait ses messages sur son portable, il dévoila leur contenu à Rom :
M – Les autres se sont faits agresser d'une drôle de manière aujourd'hui.
R – Ah bon ? Agresser ? Tu en es sur ?
M – L'avatar de Yann s'est fait violé sur Wow je crois …
R – Ah oui quand même …
M – Bon … Je reviens je vais voir les cours que je vais avoir demain.
R – Okay de toute façon je comptais monter pour voir ce que fait No.
Les deux amis se séparèrent. Max se dirigea au tableau de sa section, il nota son emploi du temps sur une feuille, mais très vite une main se posa sur le tableau et lui cacha l'emploi du temps. D'une marnière très courtoise, Max demanda au possesseur de cette main de :
M – Bouger ta main sinon je la coupe et la donne à manger à des chiens !
? – Bah dis donc Gramon ! Tu ne t'es pas amélioré avec le temps !
M – Que … Med ? Qu'est ce que tu fous ici ?
Med–Ca ne se voit pas ? Je suis venu rendre une petite visite à une vieille connaissance ! Je n'ai pas le droit ?
M – Si bien sur … Ça ne me dérange pas du tout.
Med – En même temps je ne comptais pas te demander ton avis, hein ? Haha !
Il frappa Max dans le dos, lui décollant un de ses poumons au passage. Med observa Max pendant quelques instants tandis que ce dernier tentait de récupérer son souffle, et il finit par dire sur un ton moqueur :
Med – Dis donc tu as arrêté le badminton, mais tu n'as pas arrêté la bonne bouffe n'est ce pas ?! Haha !!
M – Ouais enfin c'est un peu vex …
Med coupa Max :
Med – Oh c'est bon ! On peut rigoler quand même … Tu pourrais être content de me voir ! Ça remonte à quand la dernière fois qu'on s'est vu ?
M – Au lycée je crois … En bons termes d'ailleurs.
Med – Tu m'as brisé la jambe et le bras, je n'ai jamais pu refaire de bad' à nouveau.
M – Peut-être pas en si bon termes que ça finalement…
Med posa sa main sur l'épaule de Max et lui lança tout en ayant un air bienveillant :
Med – Mais tu sais quoi ? Je suis passé au-dessus de tout ça … J'ai cru comprendre que vous avez des nouvelles amies depuis quelques temps nan ?
Max – Oui … Attends … Comment tu sais ?
Med – Je le sais c'est tout … Tu devrais faire attention … Un accident ça arrive très vite.
Max – Attends je sais que je t'ai pas épargné au lycée mais on n'avait pas le choix et ….
Med – Ça c'est ce que tu crois … Pourquoi vous vous êtes immiscés dans les affaires des trois rois ? Vous aviez le choix maiiiiiiss on ne va pas en parler … De toute manière … Elles finiront par le savoir … Qui vous êtes vraiment.
Med disparut, laissant Max sur place sans voix. Son Stitch sortit la tête de son sac et lui demanda
(C'était qui ?)
M – Quelqu'un que j'aurais préféré oublier.

Au même moment, Rom se baladait dans les couloirs de l'Ubs sans se presser, à la recherche de la salle où était No. Brusquement il entendit crier derrière lui :
? – Hey toi la-bas !!
Rom regarda autour de lui, puis demanda :
R – Moi ?
? – Oui toi ! Tu sais qui je suis ?
Rom se cassa le crâne puis répondit assez naturellement :
R – Je n'ai aucune idée de qui tu es.
Le cœur de l'inconnu se brisa en mille morceaux suite à cette réponse d'une totale franchise. Rom, qui ne comprenait rien à se qu'il se passait, décida de reprendre son chemin mais l'inconnu l'interpella à nouveau :
? – Restes-ici !
Rom, agacé, lui gueula :
Rom – Bordel je ne sais pas qui tu es !
? – Tu es sur ? Je vais te raconter une histoire.
Rom – Euh... Je suis pressé tu sais !
? – Elle va attendre !
Rom – Bon bah tu t'expliqueras avec elle.
? – Jusqu’à mes dix ans, tout me souriait, rien qu'à l'écoute de mon prénom, les gens me vénéraient, mais un jour, les gens ont commencés à me haïr, m'accusant de choses que je n'avais pas commisses, les filles me foutaient des baffes dès qu'elles entendaient mon prénom, j'étais devenu un pariât !!! Un marginal !
R – Ah … Ce n'est pas du bol dis donc … T'as fini là ?
? – Puis j'ai compris … Quelqu'un devait se servir de mon identité, afin de faire le mal. Après des années de recherche, je l'ai enfin trouvé ! Et cette personne … C'est toi !
R – Quoi ? C'est quoi ces conneries encore.
? – Mon prénom est ….JOHN !!! hurla-t-il tout en pointant Rom d'un signe de la main et en affichant un air sévère.
Rom regarda John, puis répondit :
R - C'est marrant … Comme mon prénom d'emprunt.
J – TOUT A FAIT ! POUR FAIRE TES MEFAITS !
R – Des méfaits, des méfaits, des conneries de jeunesse.
J – Cramer le Monoprix ? Une connerie de jeunesse ?!
R – Ah ça … Mais on avait une gueule de bois avec les potes alors …
J – Et comme je te ressemble un peu, tout le monde me prenait pour toi … J'ai du payer pour toutes tes erreurs !
R – C'est vrai qu'il y a un truc … On dirait moi … Mais en version Picasso.
J – Tes mots ne m'atteignent pas !!! L'heure est à la vengeance mais je serais patient !! Quand à toi, tu devrais faire attention à ceux qui te sont chers … Ou alors tu risques de tout perdre.
Il commença à s'en aller dans un couloir tout en rigolant d'une manière fracassante, mais il revint quelques secondes après pour demander à Rom :
J – Il est ou l'escalier déjà ?
R – A ta droite.
J – Merci … HAAHHAHAHAHAHHAHAA !
Et il disparut. No sortit de sa classe, elle l'embrassa puis lui demanda :
No – C'était toi qui rigolais comme ça ?
R – Nan pas vraiment … Juste un mec qui avait les boules.
No – Ah bon pourquoi ?
R – Parce qu'il n'est pas aussi génial que moi.
No – T'en rates pas une pour te vanter.
R – En même temps y a de quoi !
No – Tiens ce n'est pas Max qui arrive en courant là ?
R -Il a l'air vachement paniqué.
Max s'arrêta devant ses amis, tentant de reprendre son souffle tant bien que mal, puis il finit par dire :
M – Réunion de crise ! Ce soir !
R -Pourquoi ça ?
M - On à un sérieux problème !

"Permettez-moi de vous présenter mon ennemi intime..."
de Jules Verne"
? – Elle est pas mal ta citation. Ça change de l'autre tout de suite.
M – Merci.
? – Mais elle n'est toujours pas de toi.
M – Va te faire …

Beubar on a des Rivaux (Reboot)
Theme :


Un homme sonna à une porte, Quelqu'un vint ouvrir. C'était Toto. Face à lui se trouvait un homme avec le charisme d'un tigre, que dis-je d'un léopard. De la bave coulait de sa bouche et l'on pouvait voir des traces d'urine sur son pantalon. Un silence pesant s'installa entre les deux hommes, une tension des plus palpable que les esprits n'auraient pas pu supporter. Les deux hommes se fixaient mais aucun des deux ne semblaient vouloir lâcher prise sur son adversaire. Mais au bout d'un moment, l'inconnu rompit le silence :
? – Bus … Branlette … Bus.
Toto le regarda, et lui claqua la porte au nez. A cette réaction, l'inconnu ne put sortir qu'un seul mot :
? – Kekette ….


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