Posted by : Maxime Hamon
vendredi 17 avril 2015
La suite du Remake, dites moi si vous voulez que je refasse certaines sagas comme celle là.
? – Do you
remember ?
? – Les
mecs ….
? – the 21st
Night of September !
? – LES MECS …
? – BADEYA !!!!
? – VOS GUEULES !!!
Keke coupa nos amis en pleine chanson. Il prit une grande
inspiration puis dit calmement :
K – J'aime bien les chansons un peu rétro tout ça mais quand
elles sont bien chantées. Et là vous ne savez pas chantez ! Alors ça suffit !
Surtout que ce n'est vraiment pas le moment.
Poté et Max se regardèrent, puis Max rétorqua à Kéké :
M – Je te trouve un peu dur quand même, pour Poté et moi je
veux bien mais Yann … Il a quand même remporté le prix annuel du Meilleur
chanteur de karaoké champêtre.
Kéké tourna la tête vers Yann qui murmurait en caressant son
trophée. Kéké se décala de quelques centimètres de Yann et grogna :
K – Je suis sur que ce n'est pas comme ça dans l'autre
voiture.
Pendant ce temps dans l'autre voiture :
Rom+Toto – JE SUIS TOMBE POUR ELLE !!! PADOUPOU POUDOUPOUPOU
!
Adrian – S'il vous
plait … Sortez moi de cet enfer.
Les 2 voitures s'arrêtèrent devant le vieux lycée des Beubarz.
Cela faisait des années qu'ils n'étaient pas venus ici. D'ailleurs il avait été
reconstruit depuis l'incident de leur dernière année, ou la totalité du conseil
étudiant avait été décimé dans les sous-sols du Lycée. Aucune explication
n'avait été donné, juste qu'il s'agissait d'un accident.
Max descendit le premier, dès qu'il vit la grille du lycée,
il se remémora ces 3 années au lycée, enfin les brefs souvenirs qu'il lui
restait. Soudain Yann le sortit de ses rêveries :
Y – Il faut se dépêcher ! Qui sait ce qu'ils vont faire aux
filles, et en plus je n'ai pas que ça à foutre !
M – Tu as raison, allons-y.
Les beubarz s'avancèrent en ligne à travers le parking. La
rue d'en face était étrangement calme, comme si quelqu'un avait stoppé l'espace
de la vie de ses habitants pendant quelques temps. Les Beubarz affichaient tous
un sérieux des plus inhabituels. Même Yann qui ne s'épargnait pas une petit
blague bien placée resta silencieux. Ils se stoppèrent devant la grille du
lycée qui était fermée. Devant elle se trouvait un Talkie-Walkie posé à même le
sol. Poté s'avança et le ramassa. Il le montra aux autres tout en commentant :
P – Je suppose qu'ils veulent qu'on s'en serve.
T – Oui c'est sur sinon je ne vois pas pourquoi ils
l'auraient posé là … Captain Obvious …
P – Je t'ai entendu tu sais.
T – Je sais … Et c'est ça le …. plus drôle.
Poté ne fit pas attention à la réponse et commença à
bidouiller l'appareil. Après quelques secondes il fini par capter une
fréquence.
" … Ici Michel qui cherche une MILF pour …"
Poté changea immédiatement de fréquence en disant l'air
gênée :
P – Je ne crois pas que ce soit la bonne fréquence.
A – Effectivement.
Rom – Limite tu aurais pu me donner le numéro de la
fréquence.
M – Pour quoi faire ?
Rom - … Usage personnel.
Après quelques secondes de recherche, Poté tomba sur une
autre fréquence. Il eut d'abord un long silence puis une voix le brisa :
? – The Band ?
Poté, qui avait mit l'appareil sur haut-parleur, répondit :
P – Eux-mêmes. Je suppose que j'ai Med à l'appareil.
Jib – Et bien non. Il s'agit de Jibcon, Je suis le bras
droit de Med. Je vois que vous ne vous êtes pas dégonflés.
Y – On se dégonfle jamais quand il s'agit de botter des
culs.
Jib – Toujours aussi aimable à ce que je vois. J'espère que
vous appréciez notre petite mise en scène.
Des caméras étaient éparpillées un peu partout dans le lycée
et ses alentours, et d'immenses projecteurs éclairaient la zone. Poté demanda :
P – Comment vous allez expliquer un tel grabuge au Maire ?
Jib – Il s'avère que ce dernier est un ami de la famille à
Med et actuellement il croit que nous tournons un film, ce qui est vrai en quelques
sortes.
Rom – Bon si on en venait au fait ? J'ai basket demain moi.
Jib – Très bien, nous avons réparti vos amies entre 4 zones
du lycée comprenant le bâtiment des sciences, le self, le complexe sportif et
enfin le bâtiment B.
A - Ca fait 4 zones
pour 3 personnes si je ne me trompe pas dans mes calculs … Ce qui n'arrive
jamais … Bitch please.
Jib – C'est exact Messieurs. A vous d'agir en conséquences.
Au revoir.
Jibcon interrompit la transmission. Les beubarz se
regardèrent, puis Keke proposa :
K – Pourquoi ne pas se séparer en 4 ? Cela permettrait de
ratisser les différentes zones plus rapidement.
Poté gratta sa barbe tout en réfléchissant, puis répondit :
P - Généralement ce n'est pas bon signe dans les films.
K – Mais nous ne sommes pas dans un film (Kéké regarda
autour de lui) … Fin je ne pense pas.
P – Je ne vois pas d'objection dans ce cas.
Les autres beubarz acquiescèrent d'un geste de la tête sauf
Max qui tenta de faire savoir son avis :
M – Franchement on serait plus efficace si …
Il s'interrompit. Les autres avaient déjà formé 3 groupes
différents. Yann et Romain s'étaient mit ensemble, Adrian avec Keke et enfin
Poté à décidé de se joindre à Toto. Le visage de Max se figea puis il marmonna
avec une voix semblable à celle d'un robot :
M – J'ai compris le message … Je vais me grouper avec
moi-même … Bande d'enfoirés.
T – Tu as dit ….. Quelque chose ?
M – Nan rien … Je vois que vous avez déjà prit les devants
…. FORMIDABLE !
A – Bon on se reparti comment les différentes zones ?
Rom – Yann et moi on s'occupe du Self !
Y – Pourquoi le self ?
Rom – Parce que je sens que No est là-bas … Et en plus j'ai
pas mangé donc voila.
P – Avec Toto on se charge du complexe sportif.
A -Je propose que
Keke et moi nous chargions du bâtiment des sciences.
M – Alors moi il me reste … OH on ne me laisse pas le choix
! DONC LE BATIMENT B !
A – Ah ! Tu ne commences pas à râler !
M – Je râle si je veux d'abord !!
Toto tourna la tête vers l'une des caméras qui se trouvait à
l'entrée. Il la fixa pendant quelques secondes puis demanda :
T – Il compte faire quoi …… de ces caméras au fait ?
Rom les regarda à son tour puis répondit nonchalamment :
Rom – Je sais … Il tente sans doute de prouver quelque
chose. Je me doute de ce que c'est.
Y – Moi aussi … Le problème étant qu'on ne pourra pas faire
ce qu'on veut avec ces caméras.
Max répondit tout en sortant son portable :
M – Je m'occupe de ça. En attendant qu'elle soit désactivée,
on agit comme d'habitude. On se retrouve ici dès qu'on en a fini avec ces
zouaves. Faites attention quand même on ne sait pas ce qu'ils nous réservent.
Les Beubarz se séparèrent dans 4 directions différentes.
Toto et Poté se baladaient tranquillement dans le complexe à
la recherche d'une des cachettes. Poté dit à toto :
Po – Ca fait longtemps dis donc.
To – De ?
Po – Qu'on a pas eu de l'action comme ça. Fin depuis que
nous sommes partis du Lycée on n'a pas eu trop l'occasion de se fritter avec
des méchants et tout.
To – C'est vrai ……….. En même temps faut … croire que les
méchants ont peur de … nous.
Po – Tiens y a de la lumière dans la salle de Volley-ball.
Poté poussa la porte d'entrée. Un rideau séparait la salle
du hall. Poté jeta un regard à Toto qui se contenta de faire un geste des
épaules, et il se décida à entrer.
Face à eux, un beau gosse torse nu sur une immense estrade
ovale, avec à coté un mec, la bave à la bouche, en train de faire fonctionner
une machine à faire de la fumée. Le Beau gosse pointa Poté du doigt tout en
hurlant :
? – TU SAIS QUI JE SUIS ?
Toto regarde Poté, qui surprit, répondit :
P – Heu … Nan.
? – HAHAHAHHA !! Je m'en doutais ! En même temps j'ai
beaucoup changé ! Des années à tenter de faire oublier tes moqueries, tes
insultes, tes coups … J'ai faillit toucher le fond mais me revoila … PLUS FORT
QUE JAMAIS !!!
Le beau gosse fit un bond pour atterrir juste devant son
estrade, et il dit sur un ton théâtral :
Joeff – JE SUIS LE GRAND ! LE SEUL ! L'UNIQUE !! JOEFFRAY !
P – Désolé je ne connais pas de Joeffray … Ah si un mais il
te ressemble pas vraiment.
Joeffray afficha un sourire narquois et répondit :
Joe – EH BIEN C'est moi !!! Ou était plutôt !! J'ai subit
des dizaines d'opérations de chirurgies pour te trouver que moi aussi j'avais
le droit à la beauté.
P – TOI ?! Mais … C'est pas un peu extrême ? Je veux dire …
Y avait pas que moi qui le disais et …
Joeffray ne prêtait pas attention aux justifications de Poté
et continua son discours :
Joe - J'ai ensuite suivit les cours des meilleurs tuteurs
pour pouvoir te montrer ma …
P – Bon je suis content de te revoir tout ça mais je n'ai
pas que ça à faire donc donne moi l'otage.
Joe – Si tu parles des filles … Elles ne sont pas là.
To – Pas de chance … ça.
P – Ah bon … J'ai plus qu'à te casser en 2 dans ce cas.
Poté commença à avancer vers lui mais Joeffray le stoppa
d'un signe de la main tout en disant :
Joe – Cependant j'ai bien un otage …
Joeffray se décala de quelques centimètres, dévoilant une
cage ou se trouvait le lapin de Poté. Le visage de ce dernier devint Rouge,
noir, bleu et il grogna tout en serrant les dents :
P – COMMENT AS-TU OSE T'ATTAQUER A ELLE ?!
Joe – Je trouve ça totalement justifié ! A cause de toi j'ai
tout perdu ! Il est donc normal que je te vole quelque chose ! N'est ce pas
Korn ?
L'homme habille d'un pardessus rouge répondit avec un simple
:
Korn –Gah !
Poté se craqua les doigts, remonta ses manches puis commença
à s'avancer vers Joeffray tout en disant :
P – Je ne voulais pas en arriver là mais je crois que je
vais t'apprendre la vraie signification de "faire un vol plané"
Joeffray, aucunement effrayé, se contenta de pointer son
doigt vers Poté qui se rapprochait de plus en plus.
Yann avait le regard dans le vide. Il était immobilisé au
milieu de l'immense Self du Lycée. Rom faisait tout son possible pour le
ramener parmi eux mais rien n'y faisait. Face à eux, John qui se tenait
fièrement à coté d'un homme entièrement vêtu de latex et arborait un sourire
des plus sadiques. Yann finit par revenir à lui suite à une baffe mémorable de
Rom. Il demande au blondinet :
Rom – Tu m'expliques c'est qui ce type.
Y – Une vieille connaissance, nos parents étaient amis …
Maintenant je comprends mieux pourquoi il aimait dormir avec moi.
L'homme s'avança tout en disant :
E – Bah alors mon Yannou, on ne dit pas bonjour à son
Emanual d'amour !! On est enfin l'un face à l'autre. Tu sais j'ai pensé à toi
tous les jours !
Y – Ouais bah pas moi ! J'aurais même préféré t'oublier !
E – Pourtant tu aimais bien jouer aux Power Rangers avec
moi.
Rom regarda Yann avec un regard suspicieux qui nia les faits
en bloc :
Y – C'est des conneries ! Il n'y avait que toi qui aimais
cette merde !
E – Tu me déçois je vais devoir te rafraichir la mémoire !
J – Stop !
John, qui était aussi présent, stoppa Emanual qui
s'apprêtait à se jeter sur Yann. Il dit à son partenaire :
John – Savoures encore un peu l'instant. Ils ne savent pas à
quoi s'attendre.
Rom - … Ouais bah d'ailleurs ! C'est qui votre otage !?
John – Ta chère Nolwenn … Elle se sent si seule … Tu sais
j'ai hâte d'aller la réconforter à ta place.
Em – Et moi de réconforter le corps tout chaud et endormi de
Yann.
Y – Je refuse d'approcher ce type.
Rom – Bon on va la jouer simple !
John – C'est-à-dire ?
Rom – Donnez nous Nolwenn sinon …
John – Sinon ?
Rom regarda autour de lui, et ramasse le premier objet qui
lui tomba sous la main tout en disant :
Rom – Je te balance cette superbe tarte à la crème à la
gueule.
John sortit une télécommande sa poche et appuya sur un
bouton. Un bruit de moteur se fit entendre et une machine gigantesque apparut
derrière lui. Elle était si impressionnante que Rom en lâcha sa tarte. John
répondit fièrement :
John – Je crois qu'en manière de tarte … Nous sommes un peu
mieux équipé.
Yann et Rom se regardèrent, puis sans réfléchirent ils
partirent pour se cacher derrière une table mais ….
Keke et Adrian se déplaçait dans les couloirs du bâtiment
des sciences tandis qu'une musique assourdissante datant des années 30-40
passait en boucle. Keke, qui se bouchait tant bien que mal les oreilles,
demande à Adrian :
K – C'est quoi cette horreur ?
A – Je dirais … Un hymne Nazi de la deuxième guerre
mondiale.
Keke fixa Adrian pendant quelques secondes, le visage
partagé entre l'admiration et le dégout, puis répondit :
K – Tu me surprendras toujours … Je ne sais pas encore si
c'est en bien ou en mal … Mais tu me surprendras toujours !
Adrian se stoppa. Keke, le fixant toujours, fit de même,
puis il tourna son regard dans la même direction que celui d'Adrian. Face à eux
Jibcon, avec à coté de lui quelque chose faisant deux fois sa taille et
recouvert d'un drap. Keke, le sourire aux lèvres, lui dit :
K – Enfin on va pouvoir en découdre ! Ca fait plusieurs
semaines que j'attends et crois-moi je n'aime pas qu'on me fasse attendre !
A – Je te laisse t'en charger, moi je n'ai pas envie de me
salir les mains.
Jibcon s'adressa directement à Adrian, ignorant Keke :
Jib – Oh mais crois-moi Adrian ! Tu vas te salir les mains
si tu veux sauver Gaby ! D'ailleurs je te réserve une petite surprise !!
Il attrapa le drap et le tira d'un coup sec. Les yeux
d'Adrian s'écarquillèrent alors qu'il murmurait :
Ad – Mais qu'est ce que tu as fait ….
Face à eux, un Lowney au corps entièrement mécanisé, équipé
d'armes au top de la technologie et composé des métaux les plus solides et les
plus rares. Ce dernier regarda Adrian puis lui dit :
Low – Ravi de te revoir ! Tu m'as manqué tu sais … Je vais
enfin pouvoir te faire payer cette humiliation. Et enfin je vais pouvoir faire
renaitre le Grand Reich !
Adrian était comme pétrifié. Keke tenta de le faire revenir
à lui mais il était déjà trop tard car Jibcon fit apparaitre un énorme pistolet
de toutes les couleurs dans sa main. Ce dernier le pointa vers nos Beubarz et
hurla :
Jib – A nous de jouer maintenant.
Max marchait dans les longs couloirs du bâtiment B. Il se
voyait encore être assis à suivre les cours, sans se soucier de son avenir
professionnel. Soudain il entendit un bruit derrière lui, il se retourna et se
retrouva face à une ombre, ou plutôt une forme fantomatique. Cette dernière
regardait Max avec un sourire remplit de tristesse. C'était une personne de son
âge visiblement, grand et fort, avec des cheveux bruns en bataille. Bizarrement
son physique lui était familier, comme s'il l'avait déjà rencontré. La forme
fit un signe puis disparu, à la grande surprise de Max. D'abord décontenancé,
il associa ensuite cette vision au surmenage et décida de continuer son chemin,
alors que la forme continuait de l'observer sans qu'il ne le remarque. Après
plusieurs minutes de recherche, ne trouvant rien, notre rouquin national décida
de se rendre sur le toit. Il y retrouva Med, en train de l'y attendre. Derrière
lui se trouvait une boite entièrement faite de fer ou l'on pouvait entendre
s'échapper les cris d'une femme. Med remarqua la présence de Max et lui dit :
Med – Il t'en a fallut du temps pour monter ces escaliers.
Va falloir que tu songes à te remettre au sport.
Max – Ne t'inquiètes pas pour moi. Je peux savoir à quoi
rime tout ça ? Tu ne crois pas que la plaisanterie a assez durée ? C'est bon tu
t'es vengé tu devrais être content maintenant.
Le regard de Med était emplit de haine à l'égard de Max. Il
lui répondit :
Med – Ce ne sera jamais assez suffisant … Je veux vous faire
souffrir comme on a souffert … Je veux que le monde sache qui vous êtes
vraiment. Et Nous sommes prêts à payer le prix fort pour ça.
Le vent se leva violemment sur le toit, ce qui interloqua
Max comme il n'avait pas prévu de tempêtes
à la météo. Med continua comme si de rien n'était :
Med – Tout à toujours été facile pour vous. Vous étiez dans
la lumière alors que les gens comme nous, sans vos "talents" devaient
rester dans l'ombre … Mais le Conseil Etudiant nous avait offert notre chance,
celle de briller, d'être respecter par les autres comme vous … Mais même ça
vous nous l'avez prit … Et tu vois Max … Après que je vous ai forcé à montrer
votre vraie nature … Je vous REDUIRAIS EN POUSSIERES DEVANT LE MONDE ENTIER
!!!!
Les yeux de Med devinrent Noirs avec un rond blanc au
centre, de la matière s'échappait d'en dessous de ses pieds et le vent était
devenu si violent qu'il commençait à arracher quelques morceaux de la toiture.
Max, qui avait caché son Stitch dans son sac, lui dit, l'air alarmé :
Max – Tu ne sais pas ce que tu fais Med … Il faut des années
pour contrôler ce genre de choses … Tu vas te faire dévorer … S'il te plait ne
…
Med coupa Max :
Med – LAISSES MOI TE MONTRER QUI EST LE DEMON MAINTENANT !!!
Le toit ainsi que Max fit submerger par une vague d'énergie
noire.
Le poing levé, Poté s'apprêtait à frapper Joeffray mais ce
dernier dit en touchant le torse de Poté avec le doigt :
Jeo – Repulsion.
Soudain, avec une force incroyable, Poté fut propulsé hors
de la salle sans que Toto ne puisse réagir, traversant la porte d'entrée ainsi
que le mur de la piscine, finissant sa course dans le bassin principal
inconscient. Toto, plutôt que d'affronter les 2 ennemis seuls, décida de se
rendre auprès de son ami pour voir son état, mais Joeffray ordonna à Korn :
Joe – Amuses-toi.
Korn disparut et se
retrouva devant Toto. Il lui attrapa le bras et soudain Toto se retrouva dans
les airs, juste au dessus de la piscine. Il fit une longue chute, traversa le
plafond et fini lui aussi sa course dans l'eau de bassin principal, qui devint
comme du béton de cette hauteur.
Joeffray regardait leurs corps inertes flotter dans l'eau,
et ne put s'empêcher de dire :
Joe – Je m'attendais à mieux quand même.
Yann et Rom étaient comme paralysés. Ils ne pouvaient plus bouger aucun de leur membre, sans les
yeux. C'est alors qu'ils remarquèrent qu'Emanual pointait ses mains vers eux.
Ce dernier leur expliqua :
Em – Et oui ! Moi aussi je peux faire des trucs cools !
Comme Immobiliser les gens par exemple.
John activa sa machine qui envoya une dizaine de tartes à la
crème sur Yann et Rom qui ne pouvaient que se les prendre en plein visage.
Soudain la couleur de la crème commença à changer de couleur. Pour répondre aux
inquiétudes de nos amis, John dit :
John – Moi c'est moins cool … Je peux juste modifier les
composants … Mais ce qui le rend cool … C'est que je peux transformer n'importe
quel aliment en arme mortelle, comme une bombe par exemple.
La crème sur Yann et Rom brillait de milles feux. Nos 2
héros se regardèrent une dernière fois, puis une immense explosion retentit
dans le self, soufflait une bonne partie de ce dernier.
Keke était dehors, allongé sur le bitume. Il venait juste de
traverser un des murs de bâtiment. Jibcon s'approcha du trou, pointa son arme
sur Keke et commença à lui tirer dessus, sur chacune des parties de son corps,
tout en rigolant de manière sadique.
A l'étage du dessous, Adrian donnait des coups dans le vent,
et en retour il recevait des coups de poings en plein visage. Les poings de
Lowney étaient comme des coups de massues. Adrian titubait de plus en plus
fort. Lowney le regardait avec pitié, puis avec une simple pichenette, il mit
notre héros au sol, ce dernier n'ayant même plus la force de se relever. Il transforma son bras en canon à plasma, et
le pointa vers Adrian pour l'achever tout en disant :
Low – Navrez que tu ne puisses pas assister à la naissance
de ce nouveau monde.
Med avait le regard déçu. Son t-shirt était recouvert de
sang. Il tenait par la gorge Max qui ne bougeait même plus. Du sang coulait le
long de sa bouche et il avait de nombreux bleus sur le corps, montrant la
violence du combat. Med soupira, et balança Max au loin, qui fini sa course juste
au bord du batiment. Stitch sortit du sac, commença à tapoter puis frapper la
joue de son maitre pour qu'il réagisse mais rien n'y faisait. Med sortit un
portable de sa poche et demanda :
Med – Alors ?
? – C'est parfait, tout a été enregistré !
Med – Non ce n'est pas parfait ! Je n'ai pas de preuves
! Je n'ai pas de quoi les accuser.
? – Ce n'est pas grave ! Dis toi que tu t'es vengé, c'est
déjà ça. D'ailleurs 2 millions de personnes ont suivit le streaming, c'est un
vrai succès.
Med – Si tu le dis … Je vais dire aux autres d'en finir avec
eux alors.
? – Comme tu veux. Mais n'oublies pas faut que ça passe pour
un film.
Med – Oui ! Oui ! Continue à filmer pour l'exécution. A plus
tard.
L'homme avec qui Med venait de discuter se trouvait dans une
des salles informatiques de Lesage. Il était de petite taille, chétif. Il
regardait les statistiques du streaming quand il entendit des bruits de pas
derrière lui. Il se retourna et se trouva face à Lily, Emma, Roxy, Flavie et
Viviane. Lily, sourire aux lèvres, lui dit :
L – Je te conseille de couper toute ta jolie installation ou
je vais devoir employer la force, et crois moi tu n'aimeras pas ça.
L'homme se mit à rire et répondit :
? – Tu crois me faire peur ? Franchement tu ne sais pas A
QUI TU A AFFAIRE.
L'homme se transforma en immonde bête de muscles avec des
pics partout sur le corps. Lily se tourna vers ses amis et leur demanda :
L – Pourquoi ils choisissent toujours la manière forte ?
Rxy – Ils ne nous connaissent pas … Je suppose.
Vi – Et encore il a de la chance que ce soit nous.
Lily fit volte-face et dit tout en se craquant les os du
corps :
L – Il est temps de montrer à ces idiots qui sont vraiment
les Beubarz.
Nous sommes rentrés dans le tas Part II
Fin.
Theme :
One Piece
Opening 6